20160208 – News : Origine des viandes : les industriels ne jouent pas le jeu

ALIMENTATION. Trois ans après le scandale des « lasagnes au cheval », la provenance des viandes utilisées dans les plats préparés reste un mystère. Selon l’UFC-Que choisir, seule une étiquette sur deux précise cette information.

La réponse des industriels : 

Indiquer l’origine de la viande dans les raviolis, les saucisses, les rillettes ? La puissante Ania (Association nationale des industries alimentaires), qui regroupe les dix-huit fédérations du secteur en France — première industrie nationale avec un chiffre d’affaires de 157 Md€ et 493 000 salariés dans le pays — n’est pas contre. Un porte-parole signale quand même l’impact sur le prix à la consommation. «Un surcoût lié à la gestion des emballages n’est pas à négliger, surtout pour les plus petites entreprises, mais cela ne constitue pas un obstacle significatif», poursuit-il. Avant de mettre en garde, rappelant que les entreprises françaises évoluent dans un marché mondialisé : «L’impact économique se situe davantage sur la compétitivité de l’ensemble de la filière alimentaire française à l’étranger à moyen terme que sur le coût de l’emballage pour les industriels en France à court terme.» Mais à l’heure de la multiplication des labels et du made in France, l’Ania note que l’indication de l’origine est « un avantage concurrentiel » car «les consommateurs sont de plus en plus attentifs et exigeants sur la provenance des produits qu’ils consomment».

Source : Origine des viandes : les industriels ne jouent pas le jeu

20151030 – News : L’OMS « ne demande pas aux gens d’arrêter de manger de la viande »


L’organisation a apporté des précisions sur son étude qui classe la charcuterie dans la catégorie « cancérogène ».

Source : L’OMS « ne demande pas aux gens d’arrêter de manger de la viande »