Catégorie : International
20190503 – Peter Mayhew , l’interprète de Chewbacca est mort à l’âge de 74 ans :(
L’acteur Peter Mayhew, le Chewbacca de « Star Wars », est mort à l’âge de 74 ans https://www.francetvinfo.fr/culture/cinema/star-wars/l-acteur-peter-mayhew-le-chewbacca-de-star-wars-est-mort-a-l-age-de-74-ans_3426449.html#xtor=CS2-765-%5Bautres%5D-
20190411 – Julian Assange arrêté par la police britannique
Julian Assange arrêté par la police britannique dans l’ambassade d’Equateur via 20 Minutes
— À lire sur m.20minutes.fr/monde/2494315-20190411-julian-assange-arrete-police-britannique-ambassade-equateur
20180903 – incendie au musée de Rio
«Un musée qui brûle, c’est une civilisation qui meurt», pour un archéologue via 20 Minutes
— À lire sur m.20minutes.fr/arts-stars/culture/2330079-20180903-incendie-musee-national-rio-musee-comme-celui-ci-brule-civilisation-meurt-estime-archeologue-stephen-rostain
20180404 – News : Aux Etats-Unis, une jeune femme ouvre le feu au siège de YouTube avant de se suicider

Trois personnes ont été blessées par balle. La jeune femme, très présente sur les réseaux sociaux, avait critiqué les nouvelles règles de monétisation de YouTube.
L’essentiel de l’information
- Une femme a attaqué le siège de YouTube, mardi à San Bruno. Il s’agit de Nasim Aghdam, originaire de Californie du Sud.
- Après avoir tiré plusieurs séries de coups de feu contre des employés, elle s’est donné la mort.
- Trois blessés ont été transportés à l’hôpital.
Ce que l’on sait de l’attaque
Des coups de feu ont été entendus près du siège de YouTube, à San Bruno (Californie), mardi 3 avril vers 13 h 30 (22 h 30, heure de Paris). La police a confirmé la présence d’un tireur près du campus du groupe, filiale de Google. L’attaque s’est produite dans « une cour intérieure » où les employés déjeunent habituellement.
D’après un témoin indirect de la scène cité par la chaîne d’information CNN, « une femme a fait irruption au moment du déjeuner et a semblé tirer sur une personne en particulier ». Il ne s’agirait pas d’une fusillade visant un grand nombre de personnes, selon cette même source, qui a gardé l’anonymat.
Une employée de YouTube, qui a souhaité garder l’anonymat, a rapporté également sur CNN qu’elle se trouvait « en vidéoconférence » lorsque l’attaque est survenue. Elle a évoqué des gens qui « se sont soudainement mis à courir et à crier », ajoutant que les personnes présentes sur le campus se sont efforcées de quitter le bâtiment le plus vite possible.
Lajeana Thomson, qui travaille depuis deux mois comme hôtesse à la cafétéria du bâtiment principal du complexe – qui en compte cinq –, a assisté à la scène. La cuisinière de 35 ans partait pour sa pause-déjeuner quand elle a croisé la tireuse. Elle décrit au Monde une femme vêtue de noir et coiffée d’une casquette. Elle l’a vue sortir de son sac une arme et commencer à tirer sur le patio. Lajeana Thomson est partie en courant. Elle a entendu deux séries d’une dizaine de coups de feu : la tireuse « marchait tranquillement », précise-t-elle.
Les images diffusées par les télévisions américaines montrent des employés sortant les mains sur la tête et des voitures de police et de pompiers circulant autour du campus. Celui-ci se trouve au sud de San Francisco.
« Nous sommes en relation avec les autorités et nous fournirons les informations officielles quand elles seront disponibles », a tweeté Google Communication, qui conseille toutefois aux employés du secteur de se tenir à distance de la zone de l’attaque.
Le président Donald Trump a été informé de l’événement, a précisé la Maison Blanche. Il a adressé un message de soutien aux victimes et félicité la police sur son compte Twitter.
Ce que l’on sait de l’assaillante
Lors d’une conférence de presse, le chef de la police de San Bruno, Ed Barberini, a déclaré que, d’après les premiers éléments disponibles, l’assaillant était une femme, phénomène rarissime dans les fusillades aux Etats-Unis. Elle s’est donné la mort après avoir tiré sur des employés de YouTube. Il s’agit de Nasim Aghdam, originaire de Californie du Sud, ont confirmé deux sources officielles à l’agence Associated Press. La police a ainsi découvert sur les lieux le cadavre d’une femme « atteint de blessures par balles, [que celle-ci] semble s’être infligées elle-même ».
Selon les éléments qui ont pu être retrouvés par les médias américains avant d’être effacés par les plateformes, Nasim Aghdam avait une forte présence sur les réseaux sociaux, de Facebook à Instagram, sous des pseudonymes divers. Elle animait plusieurs chaînes sur YouTube. Elle avait été ulcérée par les changements annoncés le 20 février par la plateforme. Pour tenter de limiter le recours aux contenus extrémistes mais rentables en terme de « clics », YouTube avait décidé d’exclure certaines chaînes de son programme de partage des recettes publicitaires. Sur le site internet NasimeSabz.com figurent des messages concernant ses divers centres d’intérêt, entrecoupés de tirades contre YouTube qui y est, par exemple, accusé de ne pas partager avec suffisamment d’équité les recettes avec ceux qui créent des vidéos sur la plate-forme.
Les contenus postés par Nasim Aghdam vont des manifestes politiques aux photos de mode ou d’animaux. « Les dictatures existent dans tous les pays mais avec des tactiques différentes », avait-elle posté après le changement de politique à YouTube, dans un texte dénonçant à la fois les « manipulations de la science », les maltraitances envers les animaux, la « dégénérescence sexuelle » et se terminant par une citation de Hitler. Elle reprochait à de « nouveaux employés étroits d’esprit de YouTube » d’avoir commencé à filtrer le contenu de sa chaîne en farsi, dont une vidéo montrant des exercices de fitness. Elle posait des questions à son auditoire (quelque 5 000 personnes) : pour ce qui est de la liberté d’expression, « est-ce que l’Iran est mieux que les USA ou les USA mieux que l’Iran ? »
Mardi soir, Ismail Aghdam a déclaré que sa fille, qui devait avoir 38 ans mercredi, avait dit à sa famille, il y a quelques semaines, qu’« elle était en colère » parce que YouTube avait censuré ses vidéos et cessé de lui payer son contenu. Elle avait disparu depuis samedi et avait été repérée et contrôlée par la police de Mountain View [localité où est installé le siège de Google], qui l’avait trouvée endormie dans sa voiture. Shahran Aghdam, le frère de Nasim Aghdam, a expliqué que la famille, venue d’Iran, s’était installée en Californie en 1996 et que sa sœur, qui habitait chez sa grand-mère à San Diego, se plaignait en permanence de YouTube, qui lui avait « gâché la vie ».
Ce que l’on sait des victimes
Quatre personnes ont été blessées, selon la police locale.
Le porte-parole du San Francisco General Hospital a confirmé que trois patients avaient été pris en charge dans l’établissement : un homme de 36 ans, dans un état critique ; une femme de 32 ans, dans un état grave ; et une femme de 27 ans.
Signe de la panique qui s’est emparée des salariés au moment des tirs, la quatrième personne s’est blessée à la cheville en fuyant les lieux, a précisé la police.
La Silicon Valley sous le choc
L’attaque a suscité un choc dans la Silicon Valley. En décembre 2013, des manifestants s’en étaient pris aux navettes privées qui transportent les employés de San Francisco aux sièges des compagnies technologiques. Mais l’attaque de San Bruno est la première, à l’arme à feu, contre une entreprise de la Vallée. Et elle intervient à un moment de backlash sans précédent contre la Tech : de Facebook, accusée de s’être laissée instrumentaliser par les agents de la Russie à l’occasion de l’élection présidentielle de 2016, à Uber, dont l’une des voitures sans chauffeur a tué une piétonne début mars dans l’Arizona.
Le contrôle des armes, un débat national
Le débat sur les armes à feu aux Etats-Unis divise l’opinion publique, notamment après la tuerie commise dans une école à Parkland, en Floride, le 14 février, qui a fait 17 morts. Plus de 1,5 million de personnes ont participé, le 24 mars, aux Etats-Unis à la « March For Our Lives » demandant un plus grand contrôle des armes à feu. Ces rassemblements sont les plus importants dans le pays depuis au moins deux décennies.
Source : Aux Etats-Unis, une jeune femme ouvre le feu au siège de YouTube avant de se suicider
20180119 – News : Maison de l’horreur : les sévices des treize enfants dévoilés
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Le procureur a donné des détails jeudi sur les conditions de vie des treize enfants du couple Turpin, enchaînés à leur lit pendant plusieurs semaines, battus, privés de nourriture, de soins, et torturés psychologiquement.
Mal nourris, empêchés de se rendre au toilettes, victimes de sévices corporels, sexuels et psychologiques, les treize enfants du couple Turpin ont vécu l’enfer pendant au moins sept ans. Pourtant David et Louise Turpin, 57 et 49 ans, inculpés, ont plaidé non coupable jeudi.
Des sévices quotidiens. Le procureur a raconté indicible, l’horreur vécue au quotidien depuis au moins sept ans par les treize enfants du couple. Seul le bébé âgé de deux ans était correctement nourri ; tous les autres souffrent de grave malnutrition, de troubles cognitifs et de déficience nerveuse. Ils ont raconté aux enquêteurs comment ils étaient attachés, deux par deux pendant plusieurs semaines sur des matelas de fortune, empêchés de se rendre aux toilettes, ou encore quand leur parent mangeaient des gâteaux devant eux, ils leur interdisaient d’approcher. « Un enfant de douze ans pèse comme la moyenne d’un enfant de sept, et l’aînée de 29 ans ne fait que 37 kilos », a précisé le procureur. Il a raconté qu’aucun d’entre eux n’avait accès à des jouets alors que de très nombreux, toujours dans leur emballage, ont été retrouvés dans ce qui a été surnommé « la maison de l’horreur ».
Une douche par an. Aucun d’entre eux ne savaient ce qu’était un policier ou même des médicaments. Ils n’ont jamais vu ni médecin, ni dentiste de leur vie, et seule une douche leur était octroyée chaque année. La fratrie préparait « depuis plus de deux ans » un plan d’évasion, a également indiqué le procureur. A leur arrivée, les agents du bureau du shérif de Perris, ville à environ 110 kilomètres au sud-est de Los Angeles, ont découvert trois enfants enchaînés avec des cadenas dans cette maison typique d’une banlieue américaine, en apparence extérieure, mais sordide et aux relents irrespirables à l’intérieur.
Ils risquent jusqu’à 94 ans de prison. Les parents ont plaidé non coupable de douze chefs d’inculpation de torture, douze de séquestration, sept de maltraitance d’un adulte à charge et six de maltraitance ou négligence d’enfant. Ils resteront en détention jusqu’à leur procès et risquent jusqu’à 94 ans de prison. David Turpin est également poursuivi pour acte obscène sur un enfant de moins de 14 ans avec usage de la force, la menace ou la contrainte. Le procureur a précisé qu’il s’agissait de la façon dont le père avait ligoté l’une de ses filles. Avant de résumer : « Ce sont de graves maltraitances émotionnelles et physiques, un comportement pervers ».
Source : Maison de l’horreur : les sévices des treize enfants dévoilés
Avis Pimpf : il y a quand même de sacrés malades sur ce monde, pauvres gamins , la suite va être compliquée pour eux, certes moins pénible que leur vie au mains de ces malades mais quelle dure manière de démarrer dans la vie.
20180104 – News : Un livre-choc révèle que Trump ne voulait pas devenir président
Une révélation fracassante. Dans son livre-choc à paraître le 9 janvier, Fire and Fury: Inside the Trump White House(en français « Le feu et la fureur: dans la Maison Blanche de Trump »), le journaliste américain Michael Wolff multiplie les anecdotes sur les coulisses de la première année de Donald Trump à la Maison Blanche.
Selon quelques extraits déjà diffusés dans la presse américaine, le livre balaie de nombreux thèmes qui ont marqué ce début de mandat: l’ingérence russe – avec notamment une attaque au vitriol venue de l’ancien conseiller Steve Bannon – le financement de la campagne, ou encore les mystères capillaires du président américain, largement commentés depuis des mois.
« Quelqu’un ayant vu un fantôme »
Mais parmi le lot de révélations, une est particulièrement saisissante. Michael Wolff écrit ainsi que personne, au sein de l’équipe de campagne de Donald Trump, ne s’attendait à ce que celui-ci remporte l’élection. Plus incroyable encore: on y lit que Donald Trump lui-même ne voulait pas devenir président des Etats-Unis, et voyait uniquement cette candidature à l’élection comme un moyen de booster sa carrière à la télévision et en politique.
Racontant le soir du 8 novembre 2016, qui a vu le magnat de l’immobilier remporter l’élection à la surprise générale, alors que la démocrate Hillary Clinton partait grande favorite, Michael Wolff écrit:
« Peu de temps après…
Source : Un livre-choc révèle que Trump ne voulait pas devenir président
20180103 – News : Trump vante son « gros bouton nucléaire », des internautes demandent la suspension de son compte Twitter
ÉTATS-UNIS – L’escalade reprend de plus belle. Ce mardi 2 janvier en début de soirée aux États-Unis, le président américain Donald Trump s’en est à nouveau pris à son meilleur ennemi, son homologue nord-coréen Kim Jong-Un. Deux jours après que ce dernier a expliqué posséder sur son bureau le bouton nucléaire, le président américain lui a répondu sur Twitter, dans son style si caractéristique.
« Le président nord-coréen Kim Jong-Un vient d’expliquer que ‘le bouton nucléaire se trouve à chaque instant sur son bureau’. Est-ce que quelqu’un de son régime appauvri et affamé peut l’informer que moi aussi j’ai le bouton nucléaire. Sauf qu’il est beaucoup plus gros et puissant que le sien. Et que mon bouton fonctionne, lui. »
North Korean Leader Kim Jong Un just stated that the « Nuclear Button is on his desk at all times. » Will someone from his depleted and food starved regime please inform him that I too have a Nuclear Button, but it is a much bigger & more powerful one than his, and my Button works!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) January 3, 2018
Une menace à peine voilée donc, comme le président des États-Unis en a pris l’habitude depuis que les tensions avec la Corée du Nord ont repris. Très commenté dans les médias américains et sur les réseaux sociaux, ce message a par ailleurs valu une salve de signalements à Donald Trump, de nombreux internautes estimant que son tweet méritait une exclusion du réseau social.
I just reported @realDonaldTrump because I feel like threatening nuclear war has to violate the Twitter terms of service. @TwitterSupport pls halp. pic.twitter.com/rjWy0CzL5a
— Michael Scanlon (@Scanlon14) January 3, 2018
« Je viens de signaler @realDonaldTrump parce que je suis convaincu que la menace nucléaire doit contrevenir aux règles de Twitter. S’il vous plaît, Twitter, aidez-nous. »
Does threatening a nation with nuclear war violate Twitter Terms of Service? https://t.co/GSk0FmS5LY
— Claude Taylor (@TrueFactsStated) January 3, 2018
Avis Pimpf : C’est vraiment à qui a la plus grosse, vraiment puéril et stupide… ce qui est inquiétant c’est qu’ils ont tous les deux accès à des engins de destruction massive aux conséquences des plus désastreuses…
20180103 – 4 Things President Trump Wants to Accomplish in 2018 — TIME
President Trump notched a major legislative win at the end of 2017, delivering the tax reform package he’d promised as a “Christmas gift” to the country. The White House now faces 2018 hoping to channel that momentum into a bold list of domestic priorities for the New Year, including revisiting two failures from his first…
via 4 Things President Trump Wants to Accomplish in 2018 — TIME
Pimp’s POV : As long as it’s not starting a new World War III
20171229 – Vague de froid: Trump ironise sur le réchauffement climatique

Washington (AFP) – Le président américain Donald Trump a ironisé jeudi sur le réchauffement climatique, alors que le nord des Etats-Unis est balayé par une vague de froid extrême avec des températures jusqu’à -40°C.
« Dans l’est, cela pourrait être la veille du jour de l’an LA PLUS FROIDE jamais enregistrée. Peut-être qu’on pourrait utiliser un peu de ce bon vieux réchauffement climatique que notre pays, mais aucun autre pays, s’apprêtait à payer DES TRILLIONS DE DOLLARS pour s’en protéger. Couvrez-vous! », a tweeté le président américain.
Le milliardaire de 71 ans s’est toujours montré sceptique sur le changement climatique, parlant même, avant d’être président, d’une « invention » de la Chine.
Ce tweet a déclenché une avalanche de réactions d’internautes et de scientifiques tentant d’expliquer le changement climatique au président américain.
« Le changement climatique est très réel même s’il fait froid à l’extérieur de la Trump Tower en ce moment », a répondu sur Twitter le directeur de l’Académie des Sciences de Californie, Jon Foley.
« De la même façon, il y a toujours de la faim dans le monde, même si vous venez de manger un Big Mac », a-t-il ajouté.
« En 2017, il y a eu environ trois records de chaleur aux Etats-Unis pour chaque record de froid », a renchéri la députée démocrate de l’Etat de Washington, Pramila Jayapal.
« La météo, ce n’est pas la même chose que le climat. Le président devrait pouvoir comprendre ça. Ce n’est pas difficile ».
Selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM), 2017 devrait être l’année la plus chaude jamais enregistrée sur l’ensemble de la planète.
Après son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump a retiré les Etats-Unis de l’accord de Paris sur le climat estimant qu’il détruirait des emplois industriels.
L’administration Trump a également retiré le changement climatique de la liste « des menaces » pour les Etats-Unis et relancé l’exploitation du charbon et des réserves jugées de gaz et d’huile de schiste sur des terres fédérales protégées.
Source : Vague de froid: Trump ironise sur le réchauffement climatique
Avis Pimpf : C’est vrai que les USA ont déjà eu un acteur devenu président , maintenant ils ont un comique pas drôle qui les gouverne, c’est grave de voir que l’on arrive à donner le pouvoir à de vrais timbrés…