20180104 – News : Un livre-choc révèle que Trump ne voulait pas devenir président

Un ouvrage explosif, dont les bonnes feuilles ont été publiées dans la presse américaine, livre son lot d’anecdotes fracassantes autour de la première année de Donald Trump à la Maison Blanche.

Une révélation fracassante. Dans son livre-choc à paraître le 9 janvier, Fire and Fury: Inside the Trump White House(en français « Le feu et la fureur: dans la Maison Blanche de Trump »), le journaliste américain Michael Wolff multiplie les anecdotes sur les coulisses de la première année de Donald Trump à la Maison Blanche.

Selon quelques extraits déjà diffusés dans la presse américaine, le livre balaie de nombreux thèmes qui ont marqué ce début de mandat: l’ingérence russe – avec notamment une attaque au vitriol venue de l’ancien conseiller Steve Bannon – le financement de la campagne, ou encore les mystères capillaires du président américain, largement commentés depuis des mois.

« Quelqu’un ayant vu un fantôme »

Mais parmi le lot de révélations, une est particulièrement saisissante. Michael Wolff écrit ainsi que personne, au sein de l’équipe de campagne de Donald Trump, ne s’attendait à ce que celui-ci remporte l’élection. Plus incroyable encore: on y lit que Donald Trump lui-même ne voulait pas devenir président des Etats-Unis, et voyait uniquement cette candidature à l’élection comme un moyen de booster sa carrière à la télévision et en politique.

Racontant le soir du 8 novembre 2016, qui a vu le magnat de l’immobilier remporter l’élection à la surprise générale, alors que la démocrate Hillary Clinton partait grande favorite, Michael Wolff écrit:

« Peu de temps après…

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Source : Un livre-choc révèle que Trump ne voulait pas devenir président

20180103 – News : Trump vante son « gros bouton nucléaire », des internautes demandent la suspension de son compte Twitter

 

ÉTATS-UNIS – L’escalade reprend de plus belle. Ce mardi 2 janvier en début de soirée aux États-Unis, le président américain Donald Trump s’en est à nouveau pris à son meilleur ennemi, son homologue nord-coréen Kim Jong-Un. Deux jours après que ce dernier a expliqué posséder sur son bureau le bouton nucléairele président américain lui a répondu sur Twitter, dans son style si caractéristique.

« Le président nord-coréen Kim Jong-Un vient d’expliquer que ‘le bouton nucléaire se trouve à chaque instant sur son bureau’. Est-ce que quelqu’un de son régime appauvri et affamé peut l’informer que moi aussi j’ai le bouton nucléaire. Sauf qu’il est beaucoup plus gros et puissant que le sien. Et que mon bouton fonctionne, lui. »

Une menace à peine voilée donc, comme le président des États-Unis en a pris l’habitude depuis que les tensions avec la Corée du Nord ont repris. Très commenté dans les médias américains et sur les réseaux sociaux, ce message a par ailleurs valu une salve de signalements à Donald Trump, de nombreux internautes estimant que son tweet méritait une exclusion du réseau social.

« Je viens de signaler @realDonaldTrump parce que je suis convaincu que la menace nucléaire doit contrevenir aux règles de Twitter. S’il vous plaît, Twitter, aidez-nous. »

Source : Trump vante son « gros bouton nucléaire », des internautes demandent la suspension de son compte Twitter

Avis Pimpf : C’est vraiment à qui a la plus grosse, vraiment puéril et stupide… ce qui est inquiétant c’est qu’ils ont tous les deux accès à des engins de destruction massive aux conséquences des plus désastreuses…

 

20161111 – États-Unis : plusieurs cas d’agression contre des minorités depuis la victoire de Trump

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À la suite de l’élection surprise de Donald Trump, deux femmes portant le voile ont été agressées et des cas d’intimidation d’enfants d’immigrés ont été rapportés.

Une association de défense des droits civils des musulmans américains a dit jeudi suivre de près des rapports d’incidents depuis la victoire du candidat républicain Donald Trump à l’élection présidentielle du 8 novembre. Elle rapporte les agressions de deux étudiantes portant le voile, des inscriptions racistes ainsi que des cas d’intimidation d’enfants d’immigrés.

Selon l’université d’État de San Diego, une étudiante portant un hijab (le voile islamique) a été agressée et volée mercredi. Les agresseurs auraient fait comprendre à leur victime qu’ils soutenaient Donald Trump, tout en proférant des insultes contre les musulmans, poursuit l’université dans un communiqué. L’université d’État de San Jose a pour sa part rapporté qu’un homme avait arraché le voile d’une femme marchant dans un parking. Sur les réseaux sociaux, nombre de personnes ont fait état de menaces et d’insultes contre des minorités proférées par des partisans supposés de Donald Trump.

« Banalisation de l’islamophobie ». « C’est le résultat inévitable de la banalisation de l’islamophobie que nous avons observée ces derniers mois lors de la campagne présidentielle », a déclaré par téléphone Ibrahim Hooper, porte-parole du Conseil des relations américano-islamiques (CAIR). « Malheureusement, il revient en réalité à Donald Trump de dénoncer ce type d’intolérance. » Personne n’était disponible au sein de l’équipe de Donald Trump pour commenter l’information. Depuis sa victoire inattendue, mercredi, Donald Trump a lancé des appels à l’unité du peuple américain, qui tranchent avec nombre de propos polémiques tenus pendant sa campagne, notamment à propos des musulmans à qui il voulait fermer totalement l’entrée des États-Unis.

Un soutien de Donald Trump pris à partie. Pour le deuxième jour de suite, des manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes américaines contre le président élu. Des cas d’agressions subies par des partisans de Donald Trump ont également été rapportés. Dans une vidéo postée sur des réseaux sociaux, on voit au moins deux personnes s’en prendre à un homme à une intersection de rues pendant que d’autres crient : « Tu as voté pour Trump ». Le porte-parole de la police de Chicago a confirmé que cet homme, âgé de 50 ans, avait été l’objet d’une agression mercredi à la suite d’une altercation, mais n’en a pas précisé la cause.

Les cas d’intimidation d’enfants issus des minorités en hausse. Parmi les images circulant le plus sur Internet après l’élection de Trump, on peut voir le slogan « Les vies noires ne comptent pas, ni vos votes » peint sur un mur en Caroline du Nord ou encore une croix swastika et la phrase « Rendre l’Amérique blanche à nouveau » inscrites sur un abri d’un terrain de baseball à New York. Lors d’une conférence de presse organisée à Washington, des associations de défense des droits civils ont également dit avoir été informées d’une hausse du nombre de cas d’intimidation d’enfants de minorités ethniques et religieuses.

Mark Potok, membre du groupe Southern Poverty Law Center, a dit ne pas avoir observé une telle augmentation du nombre de crimes de haine aux États-Unis depuis l’élection de Barack Obama en tant que premier président noir du pays en 2008. Une telle vague d’agressions était survenue en Grande-Bretagne dans les jours suivant la décision des électeurs britanniques, lors du référendum du 23 juin, de quitter l’Union européenne, a noté Mark Potok. « Je ne pense pas que cela va continuer pendant quatre années. Dans le cas du Brexit, cela s’était calmé après quelques semaines », a-t-il ajouté.

Source : États-Unis : plusieurs cas d’agression contre des minorités depuis la victoire de Trump

Avis Pimpf : pas vraiment une surprise, cela représente une infime partie de la population mais des abrutis d’extrémistes qui se croient tout permis comme lors du Brexit en Angleterre, comme quoi la connerie n’a pas de limite.

20160926 – News / Présidentielle américaine: Sécurité, affaires… Les enjeux du débat du siècle entre Trump et Clinton

*Philippe Berry

Jamais sans doute un débat n’avait eu autant d’importance dans une présidentielle américaine. D’un côté, Hillary Clinton, archi-favorite de l’élection il y a encore un an, qui peine toujours à convaincre les électeurs qu’elle est « honnête et digne de confiance ». En face, Donald Trump n’a aucune expérience mais il joue à fond la carte antisystème, toujours prêt à faire exploser le politiquement correct. Et dans cet affrontement qui sent le soufre, les deux candidats ont gros à perdre.

>> A lire aussi : Trump menace d’inviter une ex-maîtresse de Bill Clinton au débat

Qui profite du climat sécuritaire tendu ?

« Le premier débat est crucial pour les deux candidats. Les récentes attaques terroristes à New York et les fusillades impliquant la police à Tulsa et Charlotte vont sans doute avantager Donald Trump », estime Philip Ardoin, professeur de sciences politiques à Appalachian State University. Selon lui, « Hillary Clinton, qui est associée à Obama, va devoir être ferme et montrer qu’elle a des solutions. » Comme lors de la convention républicaine, Trump devrait noircir le tableau domestique et accuser l’ancienne secrétaire d’Etat d’être responsable de l’essor de Daesh et de l’instabilité au Moyen-Orient. Clinton, elle, va mettre en avant son expérience et privilégier le calme.

Trump fera-t-il mieux que prévu ?

C’est l’avantage d’arriver dans une position d’outsider. « Trump a placé la barre assez bas », note Phillip Adroin. Pour certains observateurs, il suffit que le candidat républicain modère ses attaques et évite une gaffe majeure pour avoir l’air « présidentiel » et marquer des points. Mais Robert Erickson, professeur à l’université Columbia et spécialiste des élections, estime pour sa part qu’il s’agit du « strict minimum ». Lors des primaires, au milieu de 10 candidats, Trump n’a jamais eu à affronter un habile débatteur en duel. Cette fois, s’il connaît mal un sujet, Clinton tentera sans doute de le mettre K.O.

Jusqu’où iront les attaques personnelles ?

Alors que les deux candidats battent des records d’impopularité, la campagne a pris un virage toxique où tous les coups semblent permis. Trump attaquera-t-il la santé de Clinton ? Jusqu’où poussera-t-il la rhétorique sur le dossier des emails et de Benghazi ? Clinton accusera-t-elle son adversaire d’être raciste et de fricoter avec les suprémacistes blancs ? Traditionnellement, un débat présidentiel reste respectueux. Mais le républicain a prévenu que s’il était attaqué, il rendrait « coup pour coup. »

Quel impact dans les sondages ?

Hillary Clinton ne compte plus que 2,5 points d’avance sur Donald Trump dans la moyenne des sondages de Real Clear Politics. « Les débats ont souvent un impact sur l’opinion. Reste à voir si le changement sera temporaire ou dans la durée », souligne Sam Wang, expert data de l’université de Stanford. Selon lui, on peut modéliser une présidentielle comme un pendule qui oscille autour d’un équilibre. Mathématiquement, parce que Clinton a perdu du terrain par rapport à sa moyenne récemment, « elle dispose d’un plus grand potentiel pour rebondir », explique Wang. Trump, lui, n’a jamais vraiment réussi à percer un plafond situé à 45 % des voix. S’il y parvient, la donne aura alors vraiment changé

Source : Présidentielle américaine: Sécurité, affaires… Les enjeux du débat du siècle entre Trump et Clinton

20160708 – News :La mort de Philando Castile et Alton Sterling embrase les Etats-Unis – L’Obs

Deux jeunes hommes noirs ont été abattus coup sur coup par des agents, en Louisiane et au Minnesota, réveillant le spectre du racisme dans la police américaine.

Leur mort a embrasé les Etats-Unis : à un jour d’intervalle, mardi 5 et mercredi 6 juillet, deux jeunes hommes noirs, Philando Castile et Alton Sterling, ont été abattus par la police, provoquant des rassemblements dans tout le pays. L’une de ces manifestations, à Dallas, s’est conclue jeudi par la mort de cinq policiers, tués par des tirs.

La première affaire à avoir mis le feu aux poudres survient mardi à Bâton-Rouge, en Louisiane. Tout commence lorsque Alston Sterling, un vendeur de CD à la sauvette, refuse d’obtempérer aux injonctions d’agents, sur un parking.

Une vidéo amateur montre une partie du déroulement des faits. Sterling, 37 ans, est plaqué et maîtrisé au sol par deux policiers.

Sterling, abattu à bout portant

« Il est armé ! » entend-on crier. Les deux policiers dégainent alors leur arme et plusieurs détonations retentissent. Alton Sterling, père de cinq  enfants, semble avoir été abattu à bout portant.

Source : La mort de Philando Castile et Alton Sterling embrase les Etats-Unis – L’Obs

20160613 – News / Tuerie d’Orlando : l’émotion unanime de la communauté internationale

RÉACTIONS – Une «attaque odieuse», un «terrible massacre», un «crime barbare»… Les dirigeants du monde entier ont exprimé leur soutien aux États-Unis après l’attaque d’une boîte de nuit gay en Floride qui a fait 50 morts et 53 blessés.

Source : Tuerie d’Orlando : l’émotion unanime de la communauté internationale

20160613 – #JesuisOrlando #IamOrlando #Jesuisenervé

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Source : http://www.actu-mag.fr/2016/06/12/je-suis-orlando/je-suis-enerve

Nothing less  to say about this tragedy  in USA but also all around the world , against all those barbarians that want to attack us about our way of life,  we can’t let them win !

Rien de plus à dire face encore à de nouveaux actes de barbarie, pas qu’en France, en Belgique et aux USA, mais dans tous ces pays ou ces barbares frappent au nom d’une idéologie et de lois que eux seuls veulent imposer.

Surtout pensées aux victimes, leur famille et leur proches, car ils veulent nous atteindre sur notre mode de de vie, nous perturber dans la vie de tous les jours. Il ne faut pas les laisser gagner.

20160517 – News : Etats-Unis : il se fait greffer un pénis et c’est un succès – metronews

Le cancer lui a pris une partie de sa virilité, la médecine la lui a redonnée. Thomas Manning, un Américain de 64 ans, a dû se faire amputer d’une partie de son anatomie des suites d’un cancer du pénis. Il a ainsi vécu pendant quatre ans avec un sexe de 2,5cm de longueur. L’homme s’était porté candidat à une greffe.

« Il devrait pouvoir uriner normalement d’ici quelques semaines »

Les espoirs du banquier se sont concrétisés la semaine dernière. Les chirurgiens du Massachussets General Hospital de Boston (Etats-Unis) ont ainsi passé près de15 heures à greffer le pénis d’un patient décédé. Lors de l’opération, les médecins ont réussi à « rattacher » l’urètre, les veines, les artères et les nerfs à ceux du nouveau pénis.

« Si tout se passe comme prévu, Thomas Manning devrait uriner normalement d’ici quelques semaines et reprendre une activité sexuelle d’ici quelques mois », précise le Dr Curtis Cetrulo, qui a dirigé l’opération, au New York Times.

EN SAVOIR + >> Le premier patient greffé du pénis va devenir père

Un enjeu pour les militaires

La première transplantation de ce type a été réalisée en 2006 en Chine. Le patient, âgé de 44 ans, n’avait pas supporté psychologiquement ce changement. Deux semaines après l’opération, il en a demandé le retrait. La seconde intervention, réalisée en 2014 en Afrique du Sud, sur un jeune homme de 21 ans a, quant à elle, était un succès. Celui-ci est même devenu papa en 2015.

D’autres patients sont dans l’attente de ce type de greffe. Un programme a d’ailleurs été annoncé en décembre 2015 pour soigner les 1 367 militaires américains ayant subi des lésions génitales lors d’opérations en Irak et en Afghanistan.

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Source : Etats-Unis : il se fait greffer un pénis et c’est un succès – metronews

Attentat de San Bernardino : «Nous vaincrons Daech», promet Obama

Le président américain, Barack Obama, appelle ses compatriotes à ne pas céder à la peur ni stigmatiser les musulmans.

Détruire le groupe de l’Etat islamique (EI, ou Daech). Telle est la volonté deBarack Obama, le président américain, qui s’est exprimé dimanche soir depuis le Bureau ovale, son lieu de travail à la Maison blanche (la présidence américaine), quelques jours après l’attentat de San Bernardino (Californie), qui a fait 14 morts mercredi dernier.

Source : Attentat de San Bernardino : «Nous vaincrons Daech», promet Obama