20161121 – Ne jetez plus ces aliments, ils ne périment pas ! – Food Powa

En faisant nos courses, on a bien souvent le réflexe de vérifier la date de péremption des produits que l’on achète. Mais saviez-vous que certains aliments ne périment quasiment jamais ? Voici une liste de 25 produits que l’on peut garder très longtemps dans nos placards. 1. Le riz S’il est stocké dans un emballage hermétique, le riz

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20161030 – News : Nanoparticules : ces confiseries qui font peur (et celles qu’on peut dévorer sans crainte) | Même pas mal

Nanoparticules : ces confiseries qui font peur (et celles qu’on peut dévorer sans crainte)

Têtes brulées, Elodie, Fizzy, chewing-gum Airwaves, Hollywood, Freedent, Malabar, confiseries M&M’s, Skittles, gâteaux LU, chocolats Milka, décorations gâteaux Vahiné… A la veille d’Halloween, l’ensemble de ces confiseries font partie d’une liste de 100 produits pointés du doigt par l’ONG Agir pour l’Environnementpour leur contenu riche en E171, le dioxyde de titane, susceptible de contenir des nanoparticules.

La bourse ou la vie ?

En juin 2016, l’ONG alertait déjà sur la présence de nanoparticules dans notre assiette. Elle revient à la charge en cette période propice à la consommation de bonbons pour alerter sur la quantité de dioxyde de titane ingérée par nos chères têtes blondes : « selon une étude récente, les enfants consommeraient deux à quatre fois plus de titane que les adultes du fait de l’ingestion de sucreries ayant des niveaux élevés de nanoparticules de dioxyde de titane. Or la période d’exposition est capitale pour évaluer les risques et que les enfants sont plus fragiles du fait d’un organisme en plein développement« , explique l’ONG.

Utilisé dans divers domaines (cosmétique, produits d’hygiène, produits pharmaceutiques, secteur de la construction), dans l’alimentaire l’E171 permet de rendre des aliments plus blancs ou plus brillants, ou pour décliner une palette de couleurs en étant associées à d’autres colorants… Mais pour quel bénéfice réel ? Pour Stéphen Kerckhove, délégué général de l’association, « il s’agit d’un double scandale : sanitaire (a-t-on assez d’études pour montrer d’innocuité ?) mais aussi de transparence (aucun consommateur dans son acte d’achat ne peut rejeter les nanoparticules !)« .

De fait, plusieurs agences sanitaires estiment que le dioxyde de titane est un cancérigène possible pour l’homme lorsqu’il est inhalé (classe 2 B d’après le le Centre international de recherche sur le cancer, en 2006; classe 1B pour l’ANSES qui a proposé à l’agence européenne des produits chimiques (ECHA) de renforcer ce classement en mai 2016). « De manière générale, sur la question des nanoparticules dans les biens de consommation courants, l’Organisation Mondiale de la Santé recommande, dans un rapport de 2013, l’application du principe de précaution et attire l’attention sur la vulnérabilité des enfants. En mai 2014, l’Agence française de sécurité sanitaire (ANSES) a préconisé un classement des nanoparticules de dioxyde de titane (et autres) comme substances dangereuses afin que soient mises en place des mesures de restriction d’usage voire d’interdiction de l’utilisation de certaines applications grand public » explique Agir pour l’Environnement.

Mais si des études récentes montrent des effets préoccupants pour notre santé (comme cette étude effectuée par l’institut sanitaire des Pays-Bas (RIVM) qui alerte sur les risques pour le foie, les ovaires et les testicules), l’EFSA vient de ré-autoriser l’additif E171 en septembre 2016 sous prétexte qu’il n’existe pas assez de preuves d’effets sur la santé des consommateurs… tout en insistant sur le besoin d’effectuer de nouvelles études sur les effets possibles sur le système reproducteur. « Basée sur une définition très restrictive de ce qu’est un nano-matériau, la caractéristique nano a été bien insuffisamment prise en compte dans ce travail« , juge l’ONG pour qui le peu d’études menées jusqu’à maintenant ne doit pas occulter le fait que celles qui existent « sont suffisamment inquiétantes pour prendre des mesures urgentes de protection« .

Aussi certains chercheurs estiment-ils qu’on se trouve là dans la même situation qu’avec l’amiante il y a 40 ans. Ils alertent sur les risques inflammatoires (interaction avec l’oxygène des cellules, altération de l’ADN, mort de cellules, activité pro-inflammatoire sur les poumons et le péritoine, etc.), la manière dont cela peut traverser différentes barrières physiologiques (ils en ont retrouvé dans le sang, le foie, la rate, les reins, les poumons, le cœur et le cerveau d’animaux) et s’accumuler dans le corps (voir cette étude).

Comment s’y retrouver ?

Pour Stéphen Kerckhove, l’essentiel est d’agir dans l’ordre maintenant : « évaluer les impacts sur la santé, puis demander un moratoire le temps que les analyses soient effectuées« . Lasse de faire appel au principe de précaution qui pour eux justifie de faire le comportement des industriels, l’ONG souhaite pallier le manque de transparence : les mesures qu’elle a effectuées en juin 2016 avec le Laboratoire National de Métrologie et d’Essais (LNE) révèlent l’ampleur des infractions à la réglementation sur l’étiquetage. « Aujourd’hui aucun produit alimentaire ne porte la mention [nano] dans la liste des ingrédients, comme l’exige pourtant la réglementation européenne INCO 1169/2011 dès lors qu’une des dimensions d’un matériau produit intentionnellement est de moins de 100nm »déplore-t-elle, déterminée à mettre en ligne d’ici fin novembre une base de données des biens de consommation contenant des nanoparticules, à commencer par les biens alimentaires. « Seront répertoriés les produits dans lesquels des nanoparticules ont déjà été détectés et les produits “suspects”, contenant des additifs susceptibles de contenir des nanoparticules (E171, E172, E551 et E552) », explique l’ONG.

En attendant, vous pouvez toujours consulter la liste de 286 produits alimentaires contenant de l’E171 telle que tenue à jour par le site Open Food Facts, regarder la vidéo suivante, réalisée par la réalisatrice belge Alina Kneepkens pour remonter la chaîne de fabrication d’un bonbon

https://player.vimeo.com/video/180163754

… avant de changer vos habitudes : signer cette pétitionpréférer des gourmandises faites maison (si vous avez le courage), acheter de bons bonbons en magasins bio ou sur des sites spécialisés(tels www.dardesdelices.comwww.confiserie-biologique.comwww.biocbio.fr, lebonbonfrancais.frwww.lemondedubonbon.fr) ou opter pour de vraies friandises effrayantes pour Halloween !

Anne-Sophie Novel / @SoAnn sur Twitter

Source : Nanoparticules : ces confiseries qui font peur (et celles qu’on peut dévorer sans crainte) | Même pas mal

20160818 – Arts : Une carte de la région d’origine des fruits et légumes – La boite verte

 

Cette carte du CIAT indique la région d’origine d’où proviennent les principaux fruits et légumes. Si je savais que les patates et les tomates venaient des Andes j’ignorais que les myrtilles venaient d’Amérique du Nord et les pastèques du sud de l’Afrique par exemple.

Source : Une carte de la région d’origine des fruits et légumes – La boite verte

20160620 – News : Biscuits, chewing-gums… Des nanoparticules retrouvées dans des produits alimentaires

Les chewing-gums Malabar et les gâteaux Napolitains de LU sont notamment concernés par l’étude de l’ONG Agir.

La blanquette de veau William Saurin, les chewing-gums Malabar, les gâteaux Napolitains de LU et un mélange d’épices pour guacamole Carrefour… L’ONG Agir pour l’environnement a placé ces produits sur une liste de produits à surveiller. Des nanoparticules ont été retrouvées dans ces produits alimentaires sans être signalées sur les étiquettes, a révélé mercredi l’ONG.

« Selon la réglementation européenne, la mention ‘nano’ aurait dû figurer sur les étiquettes », rappelle l’association. Pour Magali Ringoot, porte-parole de l’ONG, « cette enquête apporte la preuve qu’il y a défaillance dans l’information et la protection du consommateur ».

« Les industriels profitent d’une définition très vague, très alambiquée pour ne rien signaler« , estime la responsable, précisant que la définition parle de nanoparticules « de l’ordre de 100 nanomètres » utilisées « de manière intentionnelle ».

Des substances qui peuvent se retrouver dans les poumons ou le sang

Agir pour l’environnement veut saisir la direction de la consommation et de la répression des fraudes pour qu’elle « procède au rappel des produits incriminés ». Les nanomatériaux retrouvés sont notamment le dioxyde de titane (E171), qui permet de blanchir et rendre les produits brillants, et le dioxyde de silice (E551), un anti-agglomérant utilisé dans des poudres, le sucre.

Si les nanoparticules, de l’ordre du milliardième de mètre, sont utilisées dans de nombreux produits de consommation courante (alimentation, habillement, cosmétiques, électronique etc.), les risques qu’elles peuvent présenter pour la santé et l’environnement sont mal connus.

D’où l’obligation d’étiquetage imposée depuis fin 2014 par l’UE et les démarches de pays membres, dont la France, pour mieux recenser les usages et évaluer les risques. Une substance a priori inoffensive peut devenir toxique si elle est utilisée sous forme de nanomatériaux, estime l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Du fait de leur taille, les nanoparticules peuvent par exemple franchir des barrières physiologiques et se retrouver dans les poumons ou le sang.

Agir pour l’environnement, qui n’a trouvé aucun produit alimentaire étiqueté ‘nano’ dans les magasins, suppose que bien d’autres en contiennent. Dans l’attente d’une évaluation des risques, l’ONG demande au gouvernement « un moratoire » sur les nanoparticules dans l’alimentation et les produits destinés aux femmes enceintes et aux enfants.

Source : Biscuits, chewing-gums… Des nanoparticules retrouvées dans des produits alimentaires

 

Avis Pimpf:  ou comment ne plus faire confiance à ce que l’on achète pour manger, plus rien n’est bon poisson , légumes, viandes, même les produits dits « bio » ou « sans gluten  »  » sans matière grasse » etc..; ils arrivent toujours à rajouter quelque chose qui finalement n’est pas mieux pour la santé…

A quand les petites pilules avec tous les nutriments nécessaires à la journée? ça ne m’enchante guère mais tel que c’est parti on risque d’y venir un jour…

20151112 – News : PHOTOS. Quelle quantité de sucre dans vos aliments? Ce compte Instagram vous répond en images

ALIMENTATION – Après avoir découvert ce compte Instagram, vous y réfléchirez peut-être à deux fois avant de craquer pour un soda au goûter. Le principe d

Source : PHOTOS. Quelle quantité de sucre dans vos aliments? Ce compte Instagram vous répond en images

 

Avis Pimpf : A lire avec attention , car dans  bon nombre d’aliments on retrouve du sucre en forte dose histoire d’adoucir le gout de l’ensemble des aliments transformés ou préparés par l’industrie alimentaire… cela fait peur !