20181014 – News : Mennecy : les troubles de croissance de Sami, 11 ans, à cause de perturbateurs endocriniens – Le Parisien

Sami est sous traitement depuis ses 2 ans et demi, à cause de troubles de la croissance provoqués par les perturbateurs endocriniens. Dans sa ville, une charte vient d’être adoptée contre ces substances.

Sa maman, Nadège*, le qualifie de « boule de joie ». Et en effet, du haut de ses 11 ans, Sami* impressionne par sa sagesse et le recul qu’il prend par rapport aux difficultés auxquelles il doit faire face. Elève de 5e à Mennecy, où il habite, le jeune garçon fait l’objet d’un suivi médical strict depuis des années. Et doit, tous les trois mois, subir des piqûres qui empêchent les hormones de se propager trop rapidement dans son organisme.

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« Tout a commencé lorsque j’avais 2 ans. En un mois, j’ai pris 3 cm et 2 kg, raconte-t-il posément. Alors que mon frère jumeau, lui, grandissait et grossissait normalement. » Un phénomène qui amène sa pédiatre à l’adresser à Agnès Linglart, spécialiste des troubles liés aux perturbateurs endocriniens. La piste de la tumeur appuyant sur l’hypophyse écartée, celle-ci confirme que les problèmes de croissance de Sami sont dus à des facteurs extérieurs. Mais impossible, pour autant de déterminer lesquels avec précision.

« On ne peut pas savoir si j’étais porteuse ou s’il a été exposé de son côté », explique sa mère. Des trous dans son histoire avec lesquels le collégien a appris à composer. « Je le vis plutôt bien, affirme-t-il. Lorsque j’avais 9 ans, j’ai traversé une grosse période de doute, et, avec l’accord de mon médecin, je suis resté 6 mois sans prendre de traitement, pour voir ce qui se passait. Ça m’a permis d’en comprendre l’utilité. Bientôt, quand j’atteindrai 1,60 m, je cesserai définitivement de le prendre, pour que ma poussée de croissance puisse se faire normalement. »

Ce qui ne l’empêche pas de vouloir faire connaître son histoire au grand public. « Il faut que les gens sachent que les perturbateurs endocriniens peuvent provoquer de l’obésité, une fragilité au niveau corporel, et, dans les cas extrêmes, des cancers, conclut-il. Moi, ma situation est acceptable. Et sans cela, je n’aurais pas été la même personne. »

* Leurs prénoms ont été modifiés à la demande des intéressés.

Source : Mennecy : les troubles de croissance de Sami, 11 ans, à cause de perturbateurs endocriniens – Le Parisien

20181014 – Comment les parents d’enfants métissés peuvent engager la conversation sur le thème de l’identité

VIE DE FAMILLE – Tous deux médecins, Emily et Kareem Morant résident à Toronto. Emily, originaire de Dartmouth, en Nouvelle-Écosse est généraliste; Kareem, originaire de Mississauga, dans l’Ontario, est cardiologue. Ils élèvent leurs enfants, Andre, 2 ans et demi, et Annabelle, 11 mois, et ont beaucoup réfléchi à la manière d’aborder avec eux la question de l’identité ethnique.

Les Morant ont bien compris que les bases d’une identité saine doivent être posées dès maintenant, tant qu’Andre et Annabelle sont encore petits, en les aidant déjà à comprendre les cultures dont ils sont issus: Emily est blanche, d’origine écossaise et britannique; Kareem est noir, d’origine jamaïcaine.

« J’estime qu’il est important qu’Andre et Annabelle sachent et comprennent les difficultés que rencontre la population noire aujourd’hui, et par le passé, nous dit Kareem. Je veux qu’ils soient fiers de leur ascendance jamaïcaine et qu’ils prennent du plaisir à célébrer les fêtes traditionnelles. »

Il convient également que leurs enfants soient plongés dans leur riche héritage écossais. « Je ne voudrais pas qu’ils aient honte de parler du pays d’origine de leurs grands-parents maternels ou de leur histoire. Je veux qu’ils soient fiers d’être qui ils sont et qu’ils honorent chaque facette de leur être », ajoute Emily.

Pour aider les enfants à comprendre leur identité, Samantha Kemp-Jackson, conseillère en relations publiques et spécialiste de l’éducation basée à Toronto, explique qu’il est essentiel que les parents eux-mêmes fassent preuve d’une identité forte.

« Il faut que les parents d’enfants multiethniques aient une perception de soi forte car celle-ci se rapporte à leur héritage, explique cette mère de quatre enfants entre l’école primaire et l’âge adulte. Cela veut dire comprendre sa propre histoire culturelle et ethnique, non seulement dans le contexte du pays d’origine mais aussi d’après le point de vue sociopolitique de la société dans laquelle on vit. »

Source : Comment les parents d’enfants métissés peuvent engager la conversation sur le thème de l’identité

20181013 – News : Un élève de CE1 sur deux a des « difficultés » en calcul mental, selon Blanquer

Paris (AFP) – Près d’un élève de CE1 sur deux a des « difficultés » en calcul mental, affirme le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer dans un entretien à 20 Minutes où il livre les premiers résultats des évaluations controversées menées dans les écoles.

Très critiquées par les syndicats d’enseignants, ces évaluations en français et en mathématiques ont été lancées le 17 septembre pour plus de 1,6 million d’écoliers de CP et CE1.

Selon des résultats provisoires, « 23% des élèves en début de CP ont des difficultés à reconnaître les lettres et le son qu’elles produisent » et « 8% ont des difficultés à reconnaître les nombres dictés », indique le ministre au quotidien gratuit, dans un entretien diffusé dimanche.

« Concernant les élèves en début de CE1, 30% lisent moins de 30 mots par minute, alors que l’objectif national est de 50 mots. Un élève sur deux (49%) a des difficultés en calcul mental et 47% ont des soucis pour résoudre des problèmes », poursuit M. Blanquer.

Pour le ministre, des « difficultés sociales et familiales peuvent expliquer certains retards, notamment dans le langage ». « C?est à l’école d’apporter à cet enfant ce que sa famille n’a pas pu lui donner. On ne doit laisser aucun élève de côté », argue-t-il.

Répondant aux reproches de certains syndicats sur l’efficacité de ces tests et le risque qu’ils stressent les écoliers, le ministre assure qu’ils sont « un levier pour leur réussite ». « Ils n’ont pas été créés pour faire échouer les élèves, mais dans un esprit de bienveillance », insiste M. Blanquer. Ne pas répondre à toutes les questions n’est « pas un signe d’échec », affirme-t-il.

Le ministre de l’Education présente par ailleurs lundi au conseil supérieur de l’Education un projet de loi, qui vise notamment à rendre la scolarité obligatoire dès l’âge de trois ans à la rentrée 2019, contre six actuellement.

Selon M. Blanquer, cela « va mettre l’accent sur l’école maternelle et sur l’acquisition du langage. La réforme de la formation initiale des enseignants (également prévue par le projet de loi, ndlr) va nous permettre aussi de renforcer leurs compétences ».

Source : Un élève de CE1 sur deux a des « difficultés » en calcul mental, selon Blanquer

Avis Pimpf : comme d’habitude , toutes les méthods appliquées à l’école ne portent pas leur fruit, comme si « une seule méthode » pouvait s’appliquer à tous les élèves.

October 14, 2018 at 05:15PM – New Pin : #DepecheMode 🇬🇧 = #Dave #Martin #Alan #Fletch #devotee #incredible #astonishing #goodlooking #DM #team #loveforever on Board: My Music – Depeche Mode

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