20190411 – issu de l’immigration avez vous donné un prénom courant à vos enfants ?

Issus de l’immigration, avez-vous donné un prénom courant à vos enfants? via 20 Minutes
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Oui c’est notre cas, après il faut voir ce qu’ils veulent dire par « courant »

20190411 – Comment améliorer le niveau en langues vivantes des élèves français ?

Comment améliorer le niveau en langues vivantes des élèves français ? via 20 Minutes
— À lire sur m.20minutes.fr/societe/2493563-20190411-comment-ameliorer-niveau-langues-vivantes-eleves-francais

On est très souvent pas bon en langue étrangère en France, faute à la méthode. , aux mentalités ? En référence pour ma famille et amis au Portugal le niveau de pratique et connaissance des langues étrangères est bien plus élevé .

20190225 – La course pour devenir un parent parfait

Pourquoi la course pour devenir un parent parfait finit par nous plomber via 20 Minutes
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20181013 – News : Un élève de CE1 sur deux a des « difficultés » en calcul mental, selon Blanquer

Paris (AFP) – Près d’un élève de CE1 sur deux a des « difficultés » en calcul mental, affirme le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer dans un entretien à 20 Minutes où il livre les premiers résultats des évaluations controversées menées dans les écoles.

Très critiquées par les syndicats d’enseignants, ces évaluations en français et en mathématiques ont été lancées le 17 septembre pour plus de 1,6 million d’écoliers de CP et CE1.

Selon des résultats provisoires, « 23% des élèves en début de CP ont des difficultés à reconnaître les lettres et le son qu’elles produisent » et « 8% ont des difficultés à reconnaître les nombres dictés », indique le ministre au quotidien gratuit, dans un entretien diffusé dimanche.

« Concernant les élèves en début de CE1, 30% lisent moins de 30 mots par minute, alors que l’objectif national est de 50 mots. Un élève sur deux (49%) a des difficultés en calcul mental et 47% ont des soucis pour résoudre des problèmes », poursuit M. Blanquer.

Pour le ministre, des « difficultés sociales et familiales peuvent expliquer certains retards, notamment dans le langage ». « C?est à l’école d’apporter à cet enfant ce que sa famille n’a pas pu lui donner. On ne doit laisser aucun élève de côté », argue-t-il.

Répondant aux reproches de certains syndicats sur l’efficacité de ces tests et le risque qu’ils stressent les écoliers, le ministre assure qu’ils sont « un levier pour leur réussite ». « Ils n’ont pas été créés pour faire échouer les élèves, mais dans un esprit de bienveillance », insiste M. Blanquer. Ne pas répondre à toutes les questions n’est « pas un signe d’échec », affirme-t-il.

Le ministre de l’Education présente par ailleurs lundi au conseil supérieur de l’Education un projet de loi, qui vise notamment à rendre la scolarité obligatoire dès l’âge de trois ans à la rentrée 2019, contre six actuellement.

Selon M. Blanquer, cela « va mettre l’accent sur l’école maternelle et sur l’acquisition du langage. La réforme de la formation initiale des enseignants (également prévue par le projet de loi, ndlr) va nous permettre aussi de renforcer leurs compétences ».

Source : Un élève de CE1 sur deux a des « difficultés » en calcul mental, selon Blanquer

Avis Pimpf : comme d’habitude , toutes les méthods appliquées à l’école ne portent pas leur fruit, comme si « une seule méthode » pouvait s’appliquer à tous les élèves.

20180307 – Pas d’écran avant 3 ans, lit de bébé dans la chambre des parents: les conseils du nouveau carnet de santé

Le nouveau carnet de santé sera distribué dès le début du mois d’avril. Parmi ses nouveautés: les 11 vaccinations obligatoires, la recommandation de ne pas exposer les enfants de moins de 3 ans aux écrans ou encore le choix de biberons sans bisphénol A.

Le ministère de la Santé a publié lundi le nouveau modèle du carnet de santé, qui intègre les 11 vaccinations dorénavant obligatoires pour les enfants, mais aussi des recommandations nouvelles comme d’éviter la télé avant l’âge de 3 ans.

11 vaccinations obligatoires

Ce carnet, gratuit et traditionnellement remis par la maternité ou un médecin, succédera le 1er avril au modèle distribué depuis 2006. Il a été conçu pour « tenir compte des avancées scientifiques et des attentes des professionnels de santé et des familles », a indiqué le ministère dans un communiqué.

Le principal changement est le calendrier de vaccination. Pour les enfants nés depuis le 1er janvier, 11 vaccinations sont obligatoires contre seulement trois auparavant. Ces enfants doivent recevoir dix injections avant l’âge de 2 ans.

Le lit du bébé dans la chambre des parents

Enfin, ce nouveau carnet de santé est rempli de recommandations nouvelles. « Avant 3 ans: évitez de mettre votre enfant dans une pièce où la télévision est allumée même s’il ne la regarde pas », préconise-t-il.

Autre conseil: « Il est préférable, si cela est possible, de placer le lit de votre bébé dans votre chambre pour les six premiers mois au minimum » pour « réduire le risque de mort inattendue du nourrisson ».

Biberon sans bisphénol A ou en verre

« Utilisez des biberons garantis sans BPA (bisphénol A) et si possible en verre »,…

Source : Pas d’écran avant 3 ans, lit de bébé dans la chambre des parents: les conseils du nouveau carnet de santé

Avis Pimpf : pourquoi pas un nouveau carnet , et pourquoi aussi en plus de la version « papier »  ne pas inclure un vrai carnet éléctronique  à usage unique des médecins associé à ce carnet qui permettrait un meilleur  suivi des enfants? et ces conseils prodigués aujourd’hui seront ils encore valable dans 10 ans ? même si certains me semble de bon sens, d’autre  restent plus au juger des parents et autre… mais bon pour certains une piqure de rappel ne fait pas de mal mais bon…

20180119 – News : Combien d’enfants meurent chaque jour sous les coups de leurs parents ?

http://www.europe1.fr/videos/embed/3548045Gilles Lazimi affirme que deux enfants meurent sous les coups de leurs parents chaque jour.

Le tabou des violences contre les enfants.

Un tabou que veut combattre une nouvelle campagne contre les violences ordinaires, dont sont encore victimes de nombreux enfants. Il s’agit d’alerter sur les conséquences de nos cris quotidiens, mais aussi de lutter contre le tabou qui étouffe des faits beaucoup plus graves. Le docteur Gilles Lazimi est le coordinateur de la campagne.

« On estime que 1 à 2 enfants par jour meurent sous les coups de leurs parents »

Deux enfants meurent chaque sous les coups de leurs parents. Vrai ou Faux ?

C’est faux. Même si l’on entend souvent cette statistique, elle est erronée. Elle s’appuie sur les travaux précurseurs d’une pédiatre qui avait tenté, pour la première fois, il y a 10 ans, d’évaluer le nombre d’enfants victimes. Elle l’a fait en recoupant des données de la justice, des rapports de décès dans 3 hôpitaux qu’elle a réétudiés, puis elle a estimé aussi le nombre de bébés fantômes (ces enfants tués à la naissance, jamais déclarés). Tout cela, extrapolé à la France, donnait un total de 700 décès par an, environ, soit 2 par jours. Cela n’a aucune validité scientifique, mais au moins les consciences ont été réveillées.

A l’époque, peu de pays avaient de bons outils statistiques. Mais plusieurs ont évolué. La Grande-Bretagne notamment, est  intéressante car c’est un pays assez proche du nôtre en terme de structure de population. Depuis 2006, tous les décès d’enfants de 0 à 18 ans y sont investigués, au niveau local, et les causes avérées ou soupçonnées sont décrites (violences volontaires, négligences…) L’an dernier, 211 enfants sont morts à cause de maltraitances en Grande-Bretagne… si l’on rapportait ce taux au nombre d’enfants français, cela donnerait chez nous 250 décès.

Donc plus de deux par semaine. Mais on n’en sait rien.

Non. Car l’outil statistique, en France, on ne l’a pas. Pour tenter de cerner le phénomène, l’observatoire national de la protection de l’enfance (ONPE) va s’appuyer maintenant sur les statistiques de police, considérées comme les plus fiables. Elles ont été publiées hier, justement : on sait qu’en 2016, 67 enfants sont morts en France dans le cadre de violences intra-familiales, que 27 000 plaintes pour violences physiques ou sexuelles au sein de la famille ont été enregistrées… Enfin les procureurs ont placé, en urgence, plus de 13 000 enfants pour les mettre à l’abri. Mais ces données sont incomplètes, car elles ne représentent que les faits déclarés à la police. Les hôpitaux sont loin de tout recenser. Ils ne recoupent pas leurs fichiers avec ceux de la police, et les départements, responsables de la protection de l’enfance, ont chacun leur méthode pour répertorier les signalements qui leurs remontent…Certains ne comptabilisent qu’un événement par fratrie, d’autres plusieurs, ce qui rend impossible leur exploitation. Il n’y a d’ailleurs pas de consigne nationale, et leurs logiciels informatiques de toute façon, sont incompatibles (il y a actuellement quatre fournisseurs différents) : voudrait-on compiler les informations en temps réel… qu’on ne le pourrait pas.

La conséquence, qui désole les associations, est que ce flou empêche d’agir. Impossible d’étudier, en comparant les affaires, à quel moment les services sociaux ont failli avant un drame. On ne peut pas non plus fixer de règles nationales: par exemple, certains départements alertent la Justice au bout de 2 signalements… d’autres non, ils se contentent d’une enquête sociale, avec du personnel pas toujours expérimenté. Le gouvernement doit lancer un plan au printemps, pour que cela change… La seule chose qui ait fait défaut, jusqu’à présent, est une réelle volonté politique.

Source : Combien d’enfants meurent chaque jour sous les coups de leurs parents ?

20180119 – News : « Génération Moi Je » : les parents sont-ils forcément responsables d’une « crise d’autorité » ? – LCI

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DÉBAT – Dans son livre « Génération j’ai le droit », une enseignante dénonce une « nouvelle génération individualiste » et parle de « crise de l’autorité ». Pour autant, faut-il obligatoirement incriminer les parents ? Nous avons soumis la question à un pédo-psychiatre.

« Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l’autorité et n’ont aucun respect pour l’âge. A notre époque, les enfants sont des tyrans. » Cette phrase ne date pas de 2018, elle nous vient de -400 avant J.C. et elle est redevable à Socrate.

Barbara Lefebvre, auteure du livre Génération : J’ai le droit, tire la même sonnette d’alarme que le philosophe grec dans Le Parisien. Pour ce faire, elle témoigne de son vécu d’enseignante, parlant d’une nouvelle génération individualiste : « une génération d’élèves (…) qui considèrent que leurs droits individuels prévalent sur l’intérêt général. On glorifie les identités particulières au détriment du bien commun (…) A partir du moment où vous glorifiez l’individu, c’est la récusation de l’autorité ».

En d’autres termes, selon l’auteure, nous sommes passés de la reconnaissance de la singularité de l’être humain, une des grandes qualités de la société occidentale, à l’individualisme forcené qui prend la forme d’un individu consommateur estimant qu’il a plus de droits que de devoirs. Question : les parents sont-ils pour autant les premiers responsables de cette génération « Moi, je » ? On a posé la question à Nicolas Georgieff, professeur de psychiatrie à l’université Lyon 1.

LCI : Partagez-vous cette idée selon laquelle la société de consommation et les réseaux sociaux sont en partie responsables d’une génération « moi, je » ?

Nicolas Georgieff : Les réseaux sociaux ne fabriquent rien de neuf. Simplement, ils créent des phénomènes épidémiques. Ils augmentent l’impact d’un certain nombre de facteurs pathogènes. Rien de nouveau. De même, les comportements anorexiques et la dysmorphophobie ont toujours existé. Il serait idiot d’affirmer que la question du narcissisme est apparue avec les réseaux sociaux. Ce qui change, c’est la dimension que ça prend. C’est juste plus visible. Ce qui apparaît, c’est que les valeurs déclinent comme la solidarité, l’éthique, la relation aux autres. Tout est lié à une crise éducative. Non, je ne ferai pas porter la responsabilité aux réseaux sociaux ou aux effets de mode de technologie. Car, oui, le vrai problème reste les parents.

LCI : N’est-ce pas facile d’incriminer les parents ?

Nicolas Georgieff : Sans vouloir faire de la sociologie à deux balles, je suis frappé de constater à quel point les parents babyboomers, nés dans les années 60, viennent en réalité d’un autre monde. Ceux qui sont aujourd’hui les parents d’ados sont complètement perdus car les valeurs éducatives qui étaient les leurs, enfants, ne sont plus du tout les mêmes. Dans les années 50-60, tout était hyper restrictif : un respect absolu de l’autorité parentale, une privation de liberté pendant l’adolescence… Aujourd’hui le style éducatif se trouve aux antipodes. Ce qu’il faut questionner, c’est le rapport à l’autorité. Car le rapport à l’autorité se transmet. Si les familles ne font pas le travail en amont, l’école n’y arrive pas puisque les gamins sont déjà totalement étrangers à la notion d’autorité.

LCI : Comment l’expliquez-vous ?

Nicolas Georgieff : Il y a eu des désorganisations profondes dans la cellule familiale, des valeurs éducatives probablement avec des transformations après la Seconde Guerre mondiale dans l’Europe occidentale. Il en émane un constat : la notion d’autorité a perdu du sens pour des gamins et lorsqu’elle arrive dans des lieux supposés prévoir comme l’école, elle ne fonctionne pas. Allez dans une classe aujourd’hui, ce qu’il s’y passe est invraisemblable. Les élèves se lèvent, discutent entre eux, se comportent de manière aberrante. Pour moi, c’est principalement parce que la crise est en amont, elle réside directement dans les familles. Les parents sont en panne de repères éducatifs. Ils n’osent plus faire montre d’autorité envers les enfants, ils ne se sentent plus légitimes. Il y a 50 ans, la question ne se posait pas. Vous étiez le père de famille et vous incarniez l’autorité.

S’il n’y a pas d’interdits dans la tête de l’ado, il va les chercher ailleurs Nicolas Georgieff, professeur de psychiatrie à l’université Lyon 1

LCI : Comment voyez-vous l’avenir ?

Nicolas Georgieff : Ce que je constate, c’est que vous avez le retour du religieux, voire du religieux obscurantiste. Vous avez deux forces en présence totalement antagonistes. Vous avez d’un côté le délitement des valeurs et de l’autre vous avez un mouvement obscurantiste qui porte au pinacle des valeurs médiévales. L’un nourrit l’autre. Les parents eux-mêmes n’ont plus de repères car ce sont des parents qui ont été des ados sans référence bien solide à l’autorité. Ce qu’il faut éviter, c’est le déclinisme, dire que tout s’effondre et ressasser que c’était mieux avant (…) Il y a toujours eu des forces contradictoires mais ce qui apparaît, en effet, c’est une radicalisation. Un choc actuel dont on ne mesure pas encore l’ampleur. Des jeunes sans repères qui d’un coup vont se radicaliser, se convertir à une religion, parce qu’ils vont trouver dans cette religion l’inverse de ce qu’ils ont connu. Cette dernière les attire, leur apporte les valeurs manquantes. Le problème, c’est qu’ils la découvrent sous des formes monstrueuses. Partez d’un principe pour comprendre ce qui se passe : s’il n’y a pas d’interdits dans la tête de l’ado, il va les chercher ailleurs, généralement sous une forme pathologique.

Source : « Génération Moi Je » : les parents sont-ils forcément responsables d’une « crise d’autorité » ? – LCI

20170507 – Parents : les solutions pour réduire l’anxiété | Santé Magazine

 

La vie de parent est remplie de situations anxiogènes pénibles. Découvrez les bonnes techniques pour reprendre le contrôle.

Être parent n’est déjà pas une tâche facile, mais quand l’anxiété s’en mêle, elle peut sembler insurmontable. L’angoisse peut rendre chaque petit geste difficile et gâcher des bons moments en famille. Voici quelques astuces pour reprendre le contrôle et créer une dynamique parent-enfant équilibrée :

Astuce n°1 : ne pas rester seul

Si vous sentez que le stress vous empêche de profiter des petites joies du quotidien, ne vous enfermez pas, demandez de l’aide et cherchez du soutien auprès de vos proches. Les amis et la famille peuvent vous écouter et vous aider. Le simple fait d’exprimer ses craintes peut suffire à calmer une crise. Et si vous sentez que ce n’est pas assez, n’ayez pas honte de faire appel à un professionnel de santé. L’anxiété et le stress peuvent être soulagés par de nombreuses techniques allant de la méditation jusqu’aux traitements spécifiques.

Astuce n°2 : prendre le temps de souffler

Pas facile de communiquer calmement avec ses enfants lorsque l’anxiété prend le dessus. Parfois une bonne solution lorsqu’on se sent étouffé par le stress consiste à sortir de la pièce pendant quelques minutes pour prendre le temps de se calmer. Noter ses angoisses dans un carnet peut faire du bien aussi. Une fois apaisé, vous pouvez essayer d’expliquer vos sentiments à vos enfants. Masquer son ressenti peut être nocif sur le long terme, et les tout petits peuvent apprendre comment affronter les situations anxiogènes en vous observant.

Astuce n°3 : ne pas se mettre la pression

Quand les petites tâches quotidiennes prennent le dessus et nous empêchent d’avancer, un peu de recul permet de relativisez : passer du temps avec vos enfants est plus important que de bien repasser votre linge. Et prendre du temps pour vous pour faire du sport, par exemple, et apaiser vos nerfs, peut éviter d’avoir à gérer des problèmes bien plus graves.

Source : Parents : les solutions pour réduire l’anxiété | Santé Magazine

20170503 – Un parent sur deux reconnaît avoir des difficultés pour élever ses enfants

(Photo d’illustration) – Denis Charlet-AFP

Pour 46% des parents, ce n’est pas facile d’élever leurs enfants. Au cœur des sujets de discorde: en grande majorité, l’utilisation des écrans.

Source : Un parent sur deux reconnaît avoir des difficultés pour élever ses enfants