20190225 – La course pour devenir un parent parfait

Pourquoi la course pour devenir un parent parfait finit par nous plomber via 20 Minutes
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20161129 – Le zéro pointé des Français, la bonne note des pays asiatiques… Ce qu’il faut savoir sur le niveau des élèves en sciences

L’enquête TIMSS publiée mardi établit un classement des niveaux des élèves en mathématiques et en sciences. Les jeunes Français sont à la traîne.

Source : Le zéro pointé des Français, la bonne note des pays asiatiques… Ce qu’il faut savoir sur le niveau des élèves en sciences

20161123 – News : Comment les opinions politiques se transmettent (ou pas) des parents aux enfants | Slate.fr

La réponse n’est pas aussi simple qu’on le pense.

 

Il apparaît évident que, en grandissant, on adopte les opinions politiques de nos parents. Après tout, notre environnement familial constitue le premier lien avec ce monde-là, que ce soit devant la télé, en écoutant la radio ou en lisant la presse. Plusieurs études sont allées dans ce sens.

Mais comme le signale le site Vox.com, ces études posaient un problème: elles sous-entendaient que les enfants connaissaient les opinions politiques de leurs parents, qu’ils étaient à même de les resituer dans le schéma en place dans nos sociétés. Ce qui n’est pas forcément le cas quand on est adolescent. Ainsi, seuls deux tiers des enfants interrogés dans ces fameuses études pouvaient clairement identifier les affinités politiques de leurs parents, et un quart d’entre eux les rejetaient. C’est pour cela que deux chercheurs spécialisés en politique ont, de manière plus simple, cherché à comparer ceux que pensent les enfants et ce que pensent leurs parents.

«Ils ont trouvé que moins de la moitié des Américains perçoivent correctement les penchants politiques de leurs parents et les adoptent,écrit Vox. Et une grande partie de ce processus dépend de la relation entre un parent et son enfant.»

Les parents connaissent moins bien l’opinion de leur enfant

Ainsi, un enfant aura plus de facilité à déterminer l’opinion politique de ses parents si les conversations sur le sujet sont riches. En revanche, l’adoption de ces opinions se joue au niveau de la connexion dans leur relation. «Si un enfant se sentait soutenu et connecté à son parent, il était plus à même d’adopter ce qu’il pense être l’orientation politique de son père», note Vox.com. Mais ce double facteur peut amener une situation paradoxale: si un enfant parle peu politique avec ses parents mais qu’ils se sentent proche d’eux, il peut facilement adopter une opinion qu’il pense être celle de ses parents mais qui ne l’est pas forcément.

Cette configuration est d’autant plus intéressante que l’étude montre que seuls 42% des parents connaissent l’opinion politique de leurs enfants. Ce qui, autour de la table d’un repas familial, peut entraîner une discussion remplie de fausses perceptions sur les uns et les autres.

On le voit, la transmission politique dans une famille n’est pas forcément le fruit d’un héritage génétique ou d’un besoin de contradiction. Il s’agit avant tout de quelque chose de profondément intime et personnel. Une information importante à prendre en compte le jour où votre enfant vous demandera qui sont les gens en costume qui s’écharpent sur un plateau de télévision.

Source : Comment les opinions politiques se transmettent (ou pas) des parents aux enfants | Slate.fr

20161121 – Montgeron : des travaux d’intérêt général pour les collégiens sanctionnés

La commune de Montgeron, en accord avec les chefs d’établissement, propose une sanction alternative à l’exclusion des collégiens.

Source : Montgeron : des travaux d’intérêt général pour les collégiens sanctionnés

20161119 – News : L’accès à l’école, un droit parfois bafoué dans la réalité

Si tous les enfants bénéficient théoriquement du droit à l’éducation, force est de constater que « l’accès à l’école aujourd’hui en France n’est pas un droit effectif pour de nombreux enfants », notamment les plus vulnérables, souligne le défenseur des droits qui consacre son rapport annuelà cette thématique

Enfants de familles vivant dans des squats ou des campements, enfants mal logés, itinérants (issus des familles des gens du voyage), allophones (ayant une langue maternelle autre que le français), mineurs migrants non accompagnés, enfants handicapés, hospitalisés, à haut potentiel intellectuel ou encore « en conflit avec la loi »… Autant de cas de figure où les jeunes sont trop souvent « empêchés d’aller à l’école », selon Jacques Toubon, le défenseur des droits.

Pour l’ex-ministre, il y a « un hiatus entre le droit proclamé à l’éducation et l’effectivité de ce droit ». Dans le rapport annuel publié vendredi, il énumère, avec Geneviève Avenard, défenseure des enfants, 30 recommandations pour améliorer la situation.

« Notre combat peut apparaître sans fin » mais « notre organisme a été créé pour intervenir chaque fois que la société se laisse aller », a déclaré le défenseur des droits lors d’une conférence de presse cette semaine. « La scolarisation doit être un critère au centre des préoccupations des pouvoirs publics », a abondé Mme Avenard.

Tous deux soulignent que ce rapport n’a pas pour but d’évaluer le système scolaire français, mais de pointer les barrières auxquelles se heurtent des milliers d’enfants chaque année.

Le rapport met également l’accent sur les inégalités territoriales: entre les zones les plus défavorisées socialement et les autres, entre campagnes et zones urbaines, entre des départements d’outre-mer et la métropole, etc.

– ‘Considérations politiques’ –

Parmi les recommandations figure le rappel aux maires de « l’obligation de scolariser en primaire (maternelle ou élémentaire) les enfants installés physiquement sur leur territoire ». Pour l’inscription, les seuls documents nécessaires sont une copie de document d’identité, une preuve de résidence sur la commune (par exemple une attestation sur l’honneur donnée par une association) et un document attestant des vaccinations obligatoires (la famille a trois mois pour le présenter, l’enfant sera scolarisé entretemps).

« Il ne faut pas faire passer un nombre de considérations, dont certaines sont bien évidemment politiques, avant l’intérêt de l’enfant », a plaidé Jacques Toubon, faisant notamment référence aux cas d’exclusion d’enfants vivant en bidonville ou issus de familles roms.

Pour la maternelle, certaines mairies considèrent qu’il ne s’agit pas d’une obligation, la scolarité étant obligatoire en France de 6 à 16 ans. Certes, mais l’inscription des enfants en maternelle « est de droit lorsque les parents en font la demande, sauf à justifier précisément de problèmes d’effectifs ».

Le rapport pointe aussi les trop longs délais d’affectation dans un établissement scolaire, spécifique ou pas, des enfants allophones. Et le défenseur des droits « est régulièrement saisi de difficultés pour la scolarisation des mineurs non accompagnés », de jeunes migrants qui subissent eux aussi des délais trop longs. « Ces mineurs ne sont pas peu à peu intégrés mais au contraire laissés à la porte des dispositifs ».

Une fois inscrits, les enfants vivant dans des bidonvilles par exemple sont parfois confrontés à des problèmes de transports en commun ou scolaires pour se rendre dans leurs écoles.

Le rapport demande par ailleurs au ministère de l’Education nationale de « systématiser la formation aux stéréotypes et aux discriminations dans la formation initiale et continue » des professionnels de l’éducation, et notamment des enseignants, pour contribuer à lutter contre l’un des maux du système scolaire français, régulièrement souligné par les études internationales: le poids des origines sociales d’un élève dans son destin scolaire.

Source : L’accès à l’école, un droit parfois bafoué dans la réalité

20161106 – News : 3 exos de sophrologie pour calmer un enfant agité

Les parents sont de plus en plus nombreux à se plaindre d’avoir des enfants trop remuants, nerveux… Voici 3 exercices ludiques et efficaces pour calmer les enfants agités. A la clé, des moments de sérénité à partager en famille.

Le petit mouchoir l’aide à maîtriser sa respiration

En portant son attention sur son souffle, en prenant conscience qu’il peut changer de rythme et d’intensité, l’ enfant se calme.

L’enfant saisit les deux coins supérieurs d’un mouchoir en papier, puis il le rapproche de lui et le maintient devant sa bouche.
Il commence par souffler doucement : le mouchoir se soulève et s’éloigne de lui.
Lorsqu’il arrête de souffler, le papier retombe et revient lentement vers son visage.
Lui demander d’observer ce mouvement de va-et-vient, en restant attentif à son souffle.
Il essaie de souffler plus longtemps, plus fort, plusieurs fois de suite en observant les différents mouvements du mouchoir.

La boule invisible canalise son énergie

Inspiré du qi gong (gym chinoise), cet exercice l’aide à « se poser », à se concentrer, à faire circuler l’énergie dans son corps et à se calmer.

Debout, bras le long du corps, pieds bien ancrés dans le sol, il respire lentement.
Lui demander d’imaginer qu’il inspire de l’air frais et qu’il expire de l’air chaud.
Il lève les bras à hauteur des épaules et rapproche les mains l’une de l’autre, doigts écartés, comme s’il tenait une balle invisible à hauteur de sa poitrine. Pendant quelques instants, il reste immobile dans cette position avec cette balle imaginaire entre les mains.
Il fait circuler la balle en la rapprochant de son cœur, puis de son estomac et de son ventre.
Il recommence le même circuit (cœur, estomac, ventre), entre 3 et 6 (…)

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Source : 3 exos de sophrologie pour calmer un enfant agité

20161106 – News / Grève des devoirs en Espagne… déclenchée par les parents

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Selon la principale organisation de parents d’élèves espagnole, les devoirs faits à la maison gâchent la vie des enfants et n’améliorent pas leurs résultats scolaires.

Les enfants seront privés de devoirs pendant un mois. La principale organisation de parents d’élèves d’Espagne appelle ses membres à faire « la grève des devoirs » en novembre, estimant qu’ils gâchent la vie de leurs enfants sans pour autant améliorer leurs résultats, a expliqué mercredi son représentant. Cette « grève des devoirs » prévue pour l’ensemble des week-ends de novembre est convoquée par la Confédération espagnole des associations de pères et mères d’élèves (CEAPA), implantée dans 12.000 des quelque 18.000 établissements scolaires publics. Elle concerne tous les élèves, âgés de six à 18 ans.

« Des connaissances purement académiques ». Elle s’explique par la « certitude absolue que les devoirs sont préjudiciables » car ils empêchent le développement complet des enfants, au-delà de l’acquisition de connaissances purement académiques, a expliqué José Luis Pazos, président de la CEAPA. L’Espagne arrive en cinquième position sur 38 pays en ce qui concerne la quantité de devoirs imposés aux écoliers, derrière la Russie, l’Italie, l’Irlande et la Pologne, selon le dernier rapport de l’Organisation pour la Coopération et le développement économique (OCDE) sur le sujet (Evaluation Pisa). Les élèves espagnols n’en sont pas pour autant spécialement bien classés en mathématiques, en lecture ou en sciences, selon le rapport Pisa qui leur attribue des notes médiocres en ces matières. Et le pays présente un taux de décrochage scolaire qui est le double de celui de la moyenne de l’Union européenne.

Apprendre aux enfants à « se montrer critique ». En revanche, la Finlande ou encore la Corée du Sud ont de bons résultats tout en imposant peu de devoirs aux enfants : moins de trois heures par semaine, contre 6,5 pour les Espagnols et 4,9 pour la moyenne des pays de l’OCDE. L’éducation en Espagne a un problème de fond, affirme José Luis Pazos. Dans une société où l’accès à la connaissance est devenu très aisé, « nous ne devons pas apprendre aux enfants à mémoriser, mais à gérer l’information, à se montrer critiques, à faire le tri entre bonnes et mauvaises informations », a-t-il déclaré. Pour lui, « la société a profondément changé, mais pas l’ambiance dans les salles de classe ».

Source : Grève des devoirs en Espagne… déclenchée par les parents

20161104 – News / Travail et enfant : comment font les parents ?

Les couples avec enfant de moins de 3 ans qui travaillent à temps complet doivent choisir entre différents modes de garde, y compris à domicile par l’un d’eux. Quel est leur premier choix ? Une étude du ministère de la Santé répond à cette question.

Quand les deux parents travaillent à temps complet, la question de la garde de l’enfant se pose rapidement si ce dernier a moins de 3 ans. Une étude de la Direction de la recherche des études et évaluation et statistiques (DREES), organisme rattaché au ministère des Affaire sociales et de la Santé, a analysé le schéma que met en place le plus souvent ce type de famille. Les conclusions révèlent que près de 3 enfants sur 4 sont confiés à un tiers la majeure partie du temps. 4 fois sur 10, il s’agit d’une assistante maternelle, et 2 fois sur 10 d’un établissement d’accueil du jeune enfant.

Un coût non négligeable

Toutefois, un peu plus de 1 enfant sur 4 est gardé par ses parents. Dans ce cas, les parents ont en grande majorité des horaires de travail décalés leur permettant de se relayer et, deux fois sur 10, c’est la mère qui travaille au moins en partie à domicile. « Malgré la progression de l’activité des femmes, les pères restent moins investis que les mères dans la vie familiale, et une naissance a peu d’incidence sur leur activité professionnelle », expliquent les auteurs de l’étude, qui précisent qu’en définitive, seul un enfant de moins de 3 ans sur trois a ses deux parents qui travaillent à temps complet.

Certains d’entre eux souhaiteraient cependant réduire leur activité pour consacrer plus de temps à leur enfant. L’impact financier entre également en jeu, car quand les enfants sont confiés à un autre intervenant, ils passent près de 36 heures et demie par semaine sans leurs parents. « En moyenne, les parents qui travaillent à temps complet versent 446 euros par moiset par enfant avant déduction des aides éventuelles, et 215 euros une fois ces aides déduites », précise l’étude. Le coût peut néanmoins varier en fonction du mode de garde, les plus chers étant l’assistante maternelle agréée et la garde à domicile.

Source :  Direction de la recherche des études et évaluation et statistiques

Auteur : Alexandra Bresson

Source : Travail et enfant : comment font les parents ?

20161104 – News / Cotoiturage : la coloc’ des parents solo – France 3 Aquitaine

Le premier site gratuit de colocation pour familles monoparentales fait des adeptes en Aquitaine, la région où il est né grâce à Jessica Levy et Leslie Mohorade. Une première en France.

Source : Cotoiturage : la coloc’ des parents solo – France 3 Aquitaine

20161028 – News : Pourquoi votre enfant a du mal à raconter ses journées d’école ? – A la une – Destination Santé

Depuis son entrée en primaire, votre enfant est devenu très secret sur ce qu’il fait en classe ?

Il faut lui  répéter plusieurs fois la même question pour obtenir la moindre information ? Pas d’inquiétude. A son âge, cette tendance soudaine à la discrétion est assez habituelle.

 L’entrée au CP coïncide avec de grands progrès côté langage. Paradoxalement, c’est souvent le moment où les enfants deviennent moins bavards. Et c’est assez frustrant pour les parents, surtout à l’heure de la sortie des classes. Mais il faut voir le bon côté des choses. « Aux alentours de 6 ans, les enfants ne gagnent pas seulement en autonomie sur un plan pratique. Ils deviennent aussi plus indépendants sur le plan de la pensée », explique Aurélie Crétin, psychologue et psychothérapeute. « Désormais conscients que les adultes ne lisent pas dans leur esprit, ils commencent à faire le tri entre ce qu’ils vont dire et garder pour eux. » C’est une étape importante de leur développement. Autre bon point : votre enfant a désormais assez confiance en lui pour gérer seul de petites problématiques rencontrées dans la journée. Mais rassurez-vous, votre bambin continuera à se confier à vous..

Laissez-le venir

Pour maintenir une bonne communication, laissez-le choisir le moment où il aura envie de vous parler de sa journée. Si ce n’est pas au retour de l’école ni au goûter, ce sera peut-être au moment du dîner ou du coucher. D’où  l’importance  de limiter les repas devant la télévision et de conserver un petit rituel du soir. A l’inverse, s’il lui prend subitement l’envie de vous raconter ses démêlés avec son ennemi juré quand vous êtes au téléphone, autorisez-vous à lui répondre « ce que tu me dis m’intéresse beaucoup mais pour l’instant je suis occupée. On en reparle dès que j’ai fini. » Enfin, n’oubliez jamais que vous restez malgré tout son premier modèle. S’il vous entend le soir raconter les bons et moins bons moments de votre journée – sans vous plaindre mais pour partager – il sera probablement tenté de vous imiter.

A noter : Un soudain mutisme doit vous alerter s’il s’accompagne sur plusieurs jours d’autres signes qui affectent le quotidien de votre petit écolier : il dort mal, il mange moins bien, il s’amuse moins.  Si la situation perdure malgré plusieurs tentatives d’échange avec votre enfant, n’hésitez pas à en parler à son médecin traitant ou à son pédiatre pour comprendre l’origine du trouble.

Source : Pourquoi votre enfant a du mal à raconter ses journées d’école ? – A la une – Destination Santé