20180404 – News :  Le taux de participation à la grève de la SNCF est de 29,7%, annonce la direction

Des voyageurs en gare de Saint-Lazare à paris, mardi 3 avril 2018. (JULIEN MATTIA / NURPHOTO / AFP)

Bis repetita sur les quais de gares. Mercredi 4 avril, les cheminots entament leur deuxième jour de grève contre la réforme de la SNCF prévue par le gouvernement. Le taux de participation à la grève atteint 29,7%, selon la direction de la SNCF, contre 33,9% la veille.

 Une grève très suivie par les conducteurs et contrôleurs.Le taux de conducteurs en grève a légèrement reculé, à 74%, contre 77% mardi. En revanche, il y avait davantage de contrôleurs en grève: 77%, contre 69% la veille. Idem pour les aiguilleurs, en grève à 46% (contre 39%).

 Retour progressif à la normale jeudi. La direction de la SNCF annonce un « retour progressif à la normale » jeudi, mais le trafic sera encore perturbé sur les lignes régionales : trafic TGV est annoncé « quasi-normal », trois trains sur quatre sont prévus pour les « trains du quotidien » (Transilien en région parisienne, TER en régions) et trois sur cinq pour les Intercités. Des perturbations pourront subsister en début de matinée.

 Un trafic toujours très perturbé. Un TGV sur sept devrait rouler (c’est un peu mieux que la veille). Entre un RER sur deux et un sur six devraient circuler. La circulation des TER et des Intercités devrait être comparable à celle de mardi, avec respectivement un train sur cinq et un sur huit sur les rails. Même chose pour le trafic international, avec un trafic quasi normal sur le Thalys, trois Eurostar sur quatre, mais pas de train vers l’Italie, la Suisse ou l’Espagne et un sur trois vers l’Allemagne.

Source : DIRECT. Le taux de participation à la grève de la SNCF est de 29,7%, annonce la direction

20180404 – News : Les câlins influencent l’ADN des bébés – Le Point

Un bébé caliné. © BSIP/ Jessica Bordeau

Des chercheurs américains ont établi un lien entre les interactions maternelles survenues avant le sevrage et la structure de l’ADN, rapporte « Science et vie ».

PAR 6MEDIAS

C’est une étude qui pourrait offrir de nouvelles perspectives dans l’appréhension de certaines pathologies. Des chercheurs de l’université de Californie à San Francisco ont travaillé sur l’environnement affectif des premiers mois de souriceaux, jusqu’à leur sevrage, une étude relayée par Science et vie . Si le magazine relève que des travaux de 2005 avaient déjà établi que les relations avec cet environnement pouvaient agir comme des « interrupteurs génétiques » sur les gènes, cette nouvelle étude montre que ces interactions datant d’avant le sevrage vont jusqu’à modifier « la structure même de l’ADN des cellules cérébrales », soit « la répartition et le nombre de gènes sur le brin d’ADN ».

Pour cette étude, les chercheurs ont étudié deux groupes de souris. Le premier était constitué de mères souris au comportement « protecteur et attentionné », précise le magazine, et de leurs petits, tandis que le second groupe s’attachait à un groupe de souris femelles moins prévenantes envers les souriceaux. Et les scientifiques ont constaté que les nouveau-nés souris les plus couvés présentaient moins de « gènes sauteurs », des gènes qui se « copient-collent » plusieurs fois sur un brin d’ADN.

Maladies psychiatriques et neurologiques

Les rouages de ce mécanisme doivent encore être éclaircis, mais cette expérience sur des souris pourrait ouvrir des perspectives chez les humains, raconte Science et vie. Ainsi, certaines maladies psychiatriques et neurologiques comme la dépression et la schizophrénie pourraient être liées aux gênes développés avant le sevrage et de nouveaux traitements pourraient être envisagés en fonction.

 

Source : Les câlins influencent l’ADN des bébés – Le Point

20180404 – News : Et si on se soignait grâce à du fromage ?

Les bactéries qui permettent la fermentation ont des propriétés anti-inflammatoires. (©VisualHunt)

Soulager ses douleurs grâce au fromage ? Bientôt, ce sera peut-être possible ! Des chercheurs de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) de Rennes ont en effet publié le 22 mars un communiqué dans lequel ils affirment avoir identifié trois souches de bactéries propioniques présentes dans différents fromages. Ces bactéries, qui permettent la fermentation, ont également des propriétés anti-inflammatoires. « Nous avons ensuite demandé à un industriel breton de nous fabriquer une meule d’emmental à partir des trois souches sélectionnées« , a expliqué le directeur de recherche Gwenaël Jan au Parisien.

Prévenir la colite et atténuer les effets secondaires de la chimiothérapie

« Ce fromage a la capacité de prévenir la colite« , affirment les chercheurs de l’unité de recherche Science et technologie du lait et de l’œuf dans un communiqué. « Nous nous sommes aussi rendu compte qu’il pouvait atténuer les effets secondaires de la chimiothérapie« , a par ailleurs indiqué Gwenaël Jan.

Quels fromages mangerons-nous demain ? Sujet diffusé le 31 décembre 2017.

Des tests ont déjà été conduits sur des souris, et un essai clinique chez l’homme est actuellement en cours au CHU de Rennes. D’après l’Inra, plusieurs acteurs du secteur industriel auraient déjà manifesté leur intérêt pour commercialiser cette meule d’emmental miracle. Reste néanmoins aux chercheurs à trouver les fonds nécessaires pour valider leurs travaux.

Source : Et si on se soignait grâce à du fromage ?

20180404 – News : « Insultes, crachats, coups » : le quotidien des médecins n’a jamais été aussi violent

Médecin généraliste (photo d’illustration). (VALINCO/SIPA)

Le Conseil national de l’Ordre des médecins a enregistré l’an dernier plus de 1.000 agressions. Plus de la moitié des victimes sont des femmes.

Par L’Obs

« Il va falloir une sérieuse prise de conscience du gouvernement », prévient d’emblée Hervé Boissin, ce mercredi 4 avril, dans les colonnes du « Parisien« . Le coordonnateur de l’Observatoire de la sécurité, créé en 2003, fait part de son indignation quant aux derniers chiffres enregistrés, l’an passé, par le Conseil national de l’Ordre des médecins : plus de 1.000 agressions ont été recensées, commises sur 51% de femmes, révèle le quotidien. Jamais, depuis la création de l’Observatoire, le nombre de violences physiques et verbales contre les médecins généralistes et les spécialistes n’a été si élevé.

Le quotidien publie notamment le témoignage de Claire Marie, médecin de 35 ans qui exerce dans un cabinet de Dunkerque (Nord). Elle rapporte l’agression qu’elle affirme avoir subie, le 29 décembre dernier, de la part d’un patient quinquagénaire qu’elle avait déjà reçu. « Je lui ai demandé ce qui l’amenait, il m’a rétorqué que j’avais des questions idiotes. […] Puis il m’a lancé que j’examinais mal, qu’il ne m’aimait pas… Je lui ai dit que ça suffisait et l’ai raccompagné. » Il la frappe alors au visage, rapporte la jeune femme, qui a porté plainte et dont le procès est prévu en septembre prochain.

« Insultes, crachats, vols, agressions sexuelles, coups »

Les femmes médecins sont désormais les plus concernées, selon l’étude du Conseil national de l’Ordre des médecins consultée par « le Parisien ». Elles représentent 51% des victimes enregistrées l’an passé, contre 46% en 2016. Le quotidien rappelle que le fait que les femmes soient de plus en plus nombreuses dans la profession joue un rôle, mais pas seulement. « Pour certains, elles sont clairement une cible », assure d’ailleurs Hervé Boissin au quotidien. Il indique qu’elles sont victimes « d’insultes, crachats, vols, agressions sexuelles, coups ». Dans la moitié des cas, l’agresseur est le patient, qui estime notamment la prestation trop « lente », ou qui est « mécontent de ne pas avoir obtenu telle ou telle ordonnance. »

« Etre agressé alors qu’on soigne, c’est purement intolérable. Si la mesure du problème n’est pas prise et si rien n’est fait, on va voir des médecins quitter certains zones, réduire leur présence le soir, ne plus faire de visites à domicile… » alerte par ailleurs Alain-Michel Ceretti, président de France Assos Santé, un regroupement d’associations de patients. Le coordonnateur de l’Observatoire de la sécurité Hervé Boissin renchérit, auprès du quotidien toujours :

« Les pouvoirs publics doivent réagir et notamment le ministère de l’Intérieur. »C. R.

L'Obs

L’Obs

Source : « Insultes, crachats, coups » : le quotidien des médecins n’a jamais été aussi violent

20180404 – News : Un mois avant le meurtre de Maëlys, une «ex» de Lelandais portait plainte contre lui

En juillet 2017, une ex-petite amie du meurtrier avait déposé plainte à la gendarmerie de Pont-de-Beauvoisin pour «mise en danger de la vie d’autrui avec risque immédiat de mort». Elle voulait alerter sur la personnalité de Nordahl Lelandais.

Un nouveau témoignage à charge vient confirmer la personnalité trouble de Nordahl Lelandais, l’ex-maître-chien qui a avoué les meurtres de la petite Maëlys et du caporal Noyer. Un mois avant l’enlèvement de la jeune fille, une ex-compagne du meurtrier avait déposé plainte pour «mise en danger de la vie d’autrui avec risque immédiat de mort», selon une information de RTL et du Parisien .

Karine, 38 ans, a subi les violences et le harcèlement de Nordahl Lelandais lorsqu’elle a voulu le quitter en décembre 2016. Elle l’avait connu quelques mois plus tôt, en mai 2015, sur un site de rencontres. Ils avaient une passion commune pour les chiens. Il lui disait qu’elle était l’amour de sa vie et qu’il voulait des enfants avec elle. Mais quand elle découvre qu’il lui ment et qu’il la trompe, elle décide de rompre leur relation. «Il l’a giflée violemment. Il ne voulait pas de cette séparation», explique au Parisien l’avocat de la jeune femme, Me Ronald Gallo.

«Ça va être grave pour toi!»

Commence alors un cycle de violences morales et physiques. Karine change de numéro, mais Nordahl Lelandais continue de la harceler, raconte Le Parisien. Un jour, armé d’un taille-haie, il la surprend dans la forêt où elle promène son chien. Un autre, il la bloque dans la circulation à Pont-de-Beauvoisin avec sa voiture et lui lance: «Ça va être grave pour toi!» Elle se rend une première fois à la gendarmerie avec l’intention de dénoncer ce qu’elle subit, mais sans succès. «On lui a rétorqué qu’elle n’avait pas de preuve, qu’il fallait même qu’elle arrête de provoquer Lelandais», explique son avocat dans les colonnes du journal.

Mais le 18 juillet 2017, l’ex-militaire fonce sur elle en voiture. «Au volant de son véhicule, Lelandais a foncé sur ma cliente qui se trouvait dans sa voiture. Elle dit avoir échappé de peu à la collision et à un accident», poursuit Me Gallo. Elle se rend à la gendarmerie de Pont-de-Beauvoisin, où Nordahl Lelandais se trouve déjà pour tenter de la dissuader de porter plainte. Mais elle tient bon. «Les gendarmes ont pris sa plainte et le parquet de Chambéry a qualifié les faits de mise en danger de la vie d’autrui avec risque immédiat de mort. Ce qui n’est quand même pas rien!», ajoute Me Gallo. Un mois plus tard, le 27 août 2017, Nordahl Lelandais enlevait la petite Maëlys à un mariage à Pont-de-Beauvoisin, et la tuait.

Le 12 septembre 2017, Karine déposait une nouvelle plainte contre Nordahl Lelandais pour «atteinte à la vie privée», après avoir découvert que l’homme avait publié sur le site pornographique You Porn des vidéos de leurs relations sexuelles où l’on voyait son visage. Aujourd’hui, la jeune femme ne veut pas apparaître seulement comme une témoin dans le dossier Lelandais, mais bien comme une victime. Elle a le sentiment d’avoir échappé au pire: «J’ai été sauvée par la mort de Maëlys», dit-elle, amère.

Source : Un mois avant le meurtre de Maëlys, une «ex» de Lelandais portait plainte contre lui

20180404 – News : Aux Etats-Unis, une jeune femme ouvre le feu au siège de YouTube avant de se suicider

La police aux abords du siège de YouTube à San Bruno, le 3 avril. JUSTIN SULLIVAN / AFP

Trois personnes ont été blessées par balle. La jeune femme, très présente sur les réseaux sociaux, avait critiqué les nouvelles règles de monétisation de YouTube.

L’essentiel de l’information

  • Une femme a attaqué le siège de YouTube, mardi à San Bruno. Il s’agit de Nasim Aghdam, originaire de Californie du Sud.
  • Après avoir tiré plusieurs séries de coups de feu contre des employés, elle s’est donné la mort.
  • Trois blessés ont été transportés à l’hôpital.

Ce que l’on sait de l’attaque

Des coups de feu ont été entendus près du siège de YouTube, à San Bruno (Californie), mardi 3 avril vers 13 h 30 (22 h 30, heure de Paris). La police a confirmé la présence d’un tireur près du campus du groupe, filiale de Google. L’attaque s’est produite dans « une cour intérieure » où les employés déjeunent habituellement.

D’après un témoin indirect de la scène cité par la chaîne d’information CNN, « une femme a fait irruption au moment du déjeuner et a semblé tirer sur une personne en particulier ». Il ne s’agirait pas d’une fusillade visant un grand nombre de personnes, selon cette même source, qui a gardé l’anonymat.

Une employée de YouTube, qui a souhaité garder l’anonymat, a rapporté également sur CNN qu’elle se trouvait « en vidéoconférence » lorsque l’attaque est survenue. Elle a évoqué des gens qui « se sont soudainement mis à courir et à crier », ajoutant que les personnes présentes sur le campus se sont efforcées de quitter le bâtiment le plus vite possible.

Lajeana Thomson, qui travaille depuis deux mois comme hôtesse à la cafétéria du bâtiment principal du complexe – qui en compte cinq –, a assisté à la scène. La cuisinière de 35 ans partait pour sa pause-déjeuner quand elle a croisé la tireuse. Elle décrit au Monde une femme vêtue de noir et coiffée d’une casquette. Elle l’a vue sortir de son sac une arme et commencer à tirer sur le patio. Lajeana Thomson est partie en courant. Elle a entendu deux séries d’une dizaine de coups de feu : la tireuse « marchait tranquillement », précise-t-elle.

Les images diffusées par les télévisions américaines montrent des employés sortant les mains sur la tête et des voitures de police et de pompiers circulant autour du campus. Celui-ci se trouve au sud de San Francisco.

« Nous sommes en relation avec les autorités et nous fournirons les informations officielles quand elles seront disponibles », a tweeté Google Communication, qui conseille toutefois aux employés du secteur de se tenir à distance de la zone de l’attaque.

Le président Donald Trump a été informé de l’événement, a précisé la Maison Blanche. Il a adressé un message de soutien aux victimes et félicité la police sur son compte Twitter.

Ce que l’on sait de l’assaillante

Lors d’une conférence de presse, le chef de la police de San Bruno, Ed Barberini, a déclaré que, d’après les premiers éléments disponibles, l’assaillant était une femme, phénomène rarissime dans les fusillades aux Etats-Unis. Elle s’est donné la mort après avoir tiré sur des employés de YouTube. Il s’agit de Nasim Aghdam, originaire de Californie du Sud, ont confirmé deux sources officielles à l’agence Associated Press. La police a ainsi découvert sur les lieux le cadavre d’une femme « atteint de blessures par balles, [que celle-ci] semble s’être infligées elle-même ».

Selon les éléments qui ont pu être retrouvés par les médias américains avant d’être effacés par les plateformes, Nasim Aghdam avait une forte présence sur les réseaux sociaux, de Facebook à Instagram, sous des pseudonymes divers. Elle animait plusieurs chaînes sur YouTube. Elle avait été ulcérée par les changements annoncés le 20 février par la plateforme. Pour tenter de limiter le recours aux contenus extrémistes mais rentables en terme de « clics », YouTube avait décidé d’exclure certaines chaînes de son programme de partage des recettes publicitaires. Sur le site internet NasimeSabz.com figurent des messages concernant ses divers centres d’intérêt, entrecoupés de tirades contre YouTube qui y est, par exemple, accusé de ne pas partager avec suffisamment d’équité les recettes avec ceux qui créent des vidéos sur la plate-forme.

Les contenus postés par Nasim Aghdam vont des manifestes politiques aux photos de mode ou d’animaux. « Les dictatures existent dans tous les pays mais avec des tactiques différentes », avait-elle posté après le changement de politique à YouTube, dans un texte dénonçant à la fois les « manipulations de la science », les maltraitances envers les animaux, la « dégénérescence sexuelle » et se terminant par une citation de Hitler. Elle reprochait à de « nouveaux employés étroits d’esprit de YouTube » d’avoir commencé à filtrer le contenu de sa chaîne en farsi, dont une vidéo montrant des exercices de fitness. Elle posait des questions à son auditoire (quelque 5 000 personnes) : pour ce qui est de la liberté d’expression, « est-ce que l’Iran est mieux que les USA ou les USA mieux que l’Iran ? »

Mardi soir, Ismail Aghdam a déclaré que sa fille, qui devait avoir 38 ans mercredi, avait dit à sa famille, il y a quelques semaines, qu’« elle était en colère » parce que YouTube avait censuré ses vidéos et cessé de lui payer son contenu. Elle avait disparu depuis samedi et avait été repérée et contrôlée par la police de Mountain View [localité où est installé le siège de Google], qui l’avait trouvée endormie dans sa voiture. Shahran Aghdam, le frère de Nasim Aghdam, a expliqué que la famille, venue d’Iran, s’était installée en Californie en 1996 et que sa sœur, qui habitait chez sa grand-mère à San Diego, se plaignait en permanence de YouTube, qui lui avait « gâché la vie ».

Ce que l’on sait des victimes

Quatre personnes ont été blessées, selon la police locale.

Le porte-parole du San Francisco General Hospital a confirmé que trois patients avaient été pris en charge dans l’établissement : un homme de 36 ans, dans un état critique ; une femme de 32 ans, dans un état grave ; et une femme de 27 ans.

Signe de la panique qui s’est emparée des salariés au moment des tirs, la quatrième personne s’est blessée à la cheville en fuyant les lieux, a précisé la police.

La Silicon Valley sous le choc

L’attaque a suscité un choc dans la Silicon Valley. En décembre 2013, des manifestants s’en étaient pris aux navettes privées qui transportent les employés de San Francisco aux sièges des compagnies technologiques. Mais l’attaque de San Bruno est la première, à l’arme à feu, contre une entreprise de la Vallée. Et elle intervient à un moment de backlash sans précédent contre la Tech : de Facebook, accusée de s’être laissée instrumentaliser par les agents de la Russie à l’occasion de l’élection présidentielle de 2016, à Uber, dont l’une des voitures sans chauffeur a tué une piétonne début mars dans l’Arizona.

Le contrôle des armes, un débat national

Le débat sur les armes à feu aux Etats-Unis divise l’opinion publique, notamment après la tuerie commise dans une école à Parkland, en Floride, le 14 février, qui a fait 17 morts. Plus de 1,5 million de personnes ont participé, le 24 mars, aux Etats-Unis à la « March For Our Lives » demandant un plus grand contrôle des armes à feu. Ces rassemblements sont les plus importants dans le pays depuis au moins deux décennies.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2018/04/03/etats-unis-la-police-intervient-pres-du-siege-de-youtube-apres-des-informations-sur-des-tirs_5280199_3210.html#gtepDRqKigMgQRqk.99

Source : Aux Etats-Unis, une jeune femme ouvre le feu au siège de YouTube avant de se suicider