20170925 – SNCF : Un contrôleur demande sa carte d’invalidité à Philippe Croizon, amputé des quatre membres

Simple application du règlement ou excès de zèle ? Le sportif polyhandicapé Philippe Croizon, amputé des deux bras et des deux jambes, a posté samedi un message sur les réseaux sociaux s’étonnant de s’être vu demander sa carte d’invalidité à bord d’un train.

« Dans le TER Rouen Paris, le contrôleur me demande ma carte d’invalidité pour vérifier… quoi au juste ? », se demande l’homme qui a traversé la Manche à la nage en 2010. « Moi je n’ai rien dit, mais les passagers se sont fâchés ils ont dit c’est n’importe quoi ! », explique-t-il, en précisant qu’après avoir réitéré plusieurs fois sa demande, le contrôleur a fini par poursuivre sa tournée des voyageurs.

 

Source : SNCF: Un contrôleur demande sa carte d’invalidité à Philippe Croizon, amputé des quatre membres

Avis Pimpf : C’est vraiment ce que l’on peut nommer un excès de zèle.

Même si sur le fond c’était pour valider son taux d’invalidité pour valider la réduction sur son trajet… mais bon…

20170925 – Bill Gates Reveals His Single Biggest Windows Regret — College Life, Breaking News, Sports, Girls & Entertainment | COED

Shutterstock You would think being the richest man in the world would mean your biggest regrets in life would be few and far between. They say money can’t buy happiness or fix mistakes, but with a net worth of 85 billion dollars, I have to imagine regrets are a rarity for Bill Gates. But Gates…

via Bill Gates Reveals His Single Biggest Windows Regret — College Life, Breaking News, Sports, Girls & Entertainment | COED

20170925 – Wi-Fi permanent, jeux obsolètes…Les fausses notes d’iOS 11

éployée dans le monde entier depuis mardi 19 septembre, iOS 11, la nouvelle version du logiciel de l’iPhone et de l’iPad modifie leur fonctionnement avec de nouvelles fonctionnalités améliorant leur utilisation. Mais comme lors de chaque mise à jour, et malgré de nombreuses versions bêtas testées ces derniers mois, la version finale charrie cette année encore son lot de dysfonctionnements et nourrit de nombreuses discussions sur la toile et ailleurs depuis mardi.

Au-delà des problèmes de clavier et des ralentissements rencontrés par les plus vieux appareils éligibles à la mise à jour, des propriétaires d’iPhone et d’iPad ont constaté différentes sortes de problèmes depuis quelques jours, comme l’impossibilité de couper totalement le Wi-Fi et le Bluetooth depuis le centre de contrôle.

Difficile de couper le Wi-Fi et le Bluetooth

Selon Andrea Barisani, chercheur en cybersécurité chez F-Secure, les boutons « Wi-Fi » et « Bluetooth » de cette interface ne permettent pas de les désactiver d’un seul geste comme on pourrait le penser. Alors que les icônes de connexion au Wi-Fi et au Bluetooth sont bien inactives, ils déconnectent seulement l’appareil du réseau Wi-Fi ou de l’accessoire Bluetooth auquel il était connecté.

Apple confirme l’existence de ce comportement sur son site et explique qu’il ne s’agit pas d’un bug. Les connexions restent en réalité actives afin de pouvoir maintenir un lien avec des objets connectés (Apple Watch, Apple Pencil) et certaines fonctions (AirDrop, AirPlay, localisation). Ils sont aussi automatiquement réactivés lorsque l’appareil est redémarré et quand l’utilisateur se déplace.

Pour Apple, garder le Wi-Fi et le Bluetooth activés garantissent la meilleure expérience iOS. Les experts en cybersécurité ne partagent pas cet avis et estiment que cela rend un appareil plus vulnérable à de potentielles attaques. Il est évidemment toujours possible de les couper pour de bon en passant par les paramètres généraux de l’appareil ou en enclenchant le mode avion, qui coupe également la connexion cellulaire.

Des milliers de jeux voués à disparaître

La mise à jour iOS 11 va permettre à des centaines de millions d’iPhone et d’iPad d’entrer dans l’ère de la réalité augmentée et de profiter d’applications et de jeux beaucoup plus immersifs à la frontière du réel et du virtuel. Mais elle ne gère plus les applications en 32-bits et signe ainsi l’arrêt de mort des nombreux jeux incompatibles avec la nouvelle norme 64-bits en vigueur dans iOS 11. Ces derniers ne sont donc plus en mesure de tourner sans une mise à jour par leurs auteurs.

Selon Business Insider, 180.000 services sont ainsi menacés de disparaître, notamment le célèbre jeu Flappy Bird, dont les mises à jour ont été stoppées en 2014. « Apple n’a pas pris les développeurs en traître », explique Le Monde. Le système 64-bits a été introduit dans l’iPhone dès 2013 et les éditeurs étaient prévenus de l’échéance d’iOS 11 pour mettre à jour leurs applications. Mais cette opération est souvent non rentable pour des applications ayant l’essentiel de leur vie commerciale derrière elle.

Source : Wi-Fi permanent, jeux obsolètes…Les fausses notes d’iOS 11

20170925 – Travail. « Cash Investigation ». Free, CDI à petit prix

« Chez nous, il y a zéro CDD parce qu’on emploie les gens directement en CDI », affirme Xavier Niel, le fondateur de Free. Pour lui, les contrats de travail de son entreprise, c’est du béton. Pourtant, ses employés peuvent être mis à la porte du jour au lendemain… Extrait du magazine « Cash Investigation » du 26 septembre.

Xavier Niel, fondateur de Free et 9e fortune de France avec 7 milliards d’euros estimés, est l’un des patrons préférés des Français. Un empire bâti en un rien de temps. C’est le self-made man du numérique hexagonal, une success story made in France. « On fait de la marge, on fait pas de perte, on fait de la marge à 2 euros ! » assène-t-il.

Les consommateurs applaudissent et s’arrachent ses forfaits téléphone et internet à prix cassés. En 2016, Free a conquis 1 million d’abonnés supplémentaires. C’est la marque jeune et rebelle : « Avec Free, je paye 29 euros par mois… Il a Free, il a tout compris », dit la pub. Et en plus, les contrats de travail chez Free, c’est du béton, selon le patron…

Savoir licencier sans état d’âme : un critère d’embauche

« Chez nous, il y a zéro CDD parce qu’on emploie les gens directement en CDI », affirme Xavier Niel. Pourtant, une autre réalité est décrite par Feral Messak. Il était conseiller, puis chef d’équipe et même responsable plateau. « Quand on m’a recruté comme responsable d’équipe, une des questions qu’on m’a posées était : ‘Est-ce que vous avez des états d’âme à licencier des gens ?' » affirme-t-il au magazine « Cash Investigation » (FacebookTwitter#@cashinvestigati).

La suite de l’article en lien ci dessous :

Source : VIDEO. Travail. « Cash Investigation ». Free, CDI à petit prix

20170925 – «Star Trek: Discovery» sur Netflix: A chaque génération, sa série «Star Trek»?

«Star Trek Discovery» — CBS / Netflix

Lancée lundi sur Netflix, à raison d’un épisode par semaine (bye bye binge watching), Star Trek : Discovery est la sixième série Star Trek, septième si l’on compte le court dessin animé des années 1970. Soit 50 ans de télévision, 28 saisons, 725 épisodes, sans oublier 10 films, un reboot et toute une galaxie de romans, comics, jeux, jouets, fanfics, etc.

Un univers dans lequel il n’est pas aisé de rentrer, mais facile de se perdre. Avec l’aide de Romain Nigita, coauteur de Séries’ Anatomy, le 8ème art décrypté (éditions Fantask) et trekkie devant l’infini (et au-delà), 20 Minutes a bravé l’espace et le temps pour savoir comment chaque série Star Trek a marqué son époque.

Générique : Star Trek, frontière de la pop culture, vers laquelle voyage votre journal spécial 20 Minutes. Sa mission : explorer des mondes étranges, faire découvrir d’anciennes séries, d’autres civilisations et au mépris du danger, avancer vers l’inconnu.

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>> A lire aussi : «Star Trek» a 50 ans et toujours un temps d’avance

Star Trek, la série originale

« Lorsqu’elle débute en 1966, Star Trek est la première série SF américaine pour adultes. Il y avait bien des séries de science-fiction pour enfants (Les Aventures de Superman) ou des anthologies (La Quatrième dimensionAu-delà du réel), mais pas de série grand public, avec des personnages récurrents. L’époque était acquise aux westerns et à l’action. Or, Star Trek débarque et parle de racisme, d’identité, de diversité, du Vietnam…

Si les épisodes sont indépendants des uns des autres, comme alors 99,9 % des séries telles que Mission : Impossible ou Les Mystères de l’ouestStar Trek construit un univers cohérent, dont les fans s’emparent très vite. La série cristallise toute la culture geek, 10 ans avant Star Wars. On assiste aux premières conventions 100 % Star Trek, et lorsque la Nasa lance un appel pour nommer sa première navette spatiale, plus de 200.000 trekkies votent « Enterprise ». L’inauguration se fera même en présence du créateur Gene Roddenberry et des acteurs de la série. »

L’épisode à retenir : Guerre et magie, saison 2, épisode 19. « L’Enterprise arrive sur une planète où deux peuples s’affrontent, l’un des deux armé par les Klingons. Le capitaine Kirk se demande alors s’il doit intervenir et équilibrer le rapport de forces. Une allégorie pas du tout cachée du conflit vietnamien. »

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>> A lire aussi : Les héros de « Star Wars » et « Star Trek » se chambrent sur les réseaux sociaux

Star Trek : La Nouvelle Génération

« C’est Hill Street Blues dans l’espace ! En termes d’écriture, Star Trek : La Nouvelle Génération côtoie le meilleur des années 80-90 : Hill Street Blues [Capitaine Furillo en VF] donc, mais aussi Hôpital St Elsewhere puis New York Police Blues et Urgences. Tu n’as plus seulement le duo principal Kirk et Spock, mais tout un équipage avec ses histoires, ses responsabilités.

Le show est choral et se fait encore plus utopiste que la série originale. Les conflits viennent presque toujours d’une menace extérieure, rarement de l’équipage même de l’Enterprise…. où des mecs peuvent se balader en jupe en arrière-plan ! Oui, Gene Roddenberry avait une vision extrême, optimiste, du futur, sans différence entre les hommes et les femmes. »

Un épisode à retenir : Être ou ne pas être, saison 2, épisode 9. « L’exemple parfait de la richesse de Star Trek. Un responsable de Starfleet affirme que l’androïde Data est la propriété de la Fédération, et qu’il peut donc le démonter et l’étudier. S’en suit un procès pour savoir si Data peut être considéré comme un être vivant. La conclusion est que si l’on ne peut pas prouver que Data est à 100 % un être vivant, on ne peut pas non plus le prouver pour l’homme. »

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>> «Star Trek»: Comment la série permet d’apprendre le droit

Star Trek : Deep Space Nine

« C’est le petit frère turbulent de Next Generation et Voyager. Le côté obscur de la Fédération. La série se déroule loin des aventures du vaisseau amiral, dans un coin perdu de l’univers. Benjamin Sisko, premier commandant noir de Star Trek, est envoyé sur la station spatiale Deep Space Nine, qui, après la découverte d’un vortex, devient un point stratégique de tout l’univers. On parle là de guerres interstellaires. Dans DS9, l’utopie Star Trek est continuellement confrontée à la réalité de la guerre. »

Un épisode à retenir : L’Enfer sur terre, saison 4, épisode 11. « A la suite d’un attentat sur Terre, Sisko est appelé pour enquêter, et je me rappellerai toujours cette phrase qu’il lance aux responsables de Starfleet : « C’est facile d’être un ange quand on vit au paradis », dans le sens où ils n’ont jamais eu à se salir les mains. Tout est dit. »

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>> A lire aussi : «Harry Potter», «Star Trek», «Indiana Jones»… A quand un fan film sur grand écran?

Star Trek : Voyager et Enterprise

« On ne peut pas dire qu’il existe de génération Voyager ou Enterprise. Diffusée de 1995 à 2001, la première a comme « seule » originalité d’avoir une femme pour capitaine. Les épisodes, eux, semblent tirer de scénarios de Next Generationretrouvés au fond d’un tiroir. C’est d’autant plus dommage que le concept de départ était intéressant : un équipage Starfleet est forcé de faire équipe avec des rebelles pour retrouver le chemin de la Terre. Mais dès le deuxième épisode, ils ont tous le même uniforme et tout va bien. Des auteurs de DS9 essaieront d’écrire pour Voyager, mais préféreront partir, à l’instar de Ronald D. Morre qui créera plus tard Battlestar Galactica.

Enterprise arrive sur les écrans en pleine mode des préquelles, deux ans après La Menace fantôme et juste avant Batman Begins et Casino Royale. La série se passe 150 ans avant les aventures de Kirk et Spock, et les créateurs voulaient casser le modèle de la franchise. Toute la première saison devait se dérouler sur Terre, avant le décollage du vaisseau, mais pas question pour le studio : une série Star Trek est une série dans l’espace. Enterprise ne trouvera jamais son public, ni son identité. La saison 3, très post-11 Septembre, verra Scott Bakula se venger d’un attentat d’envergure en mode Jack Bauer, tandis que la quatrième tente encore autre chose, plus proche de ce que la série aurait dû être : une explication point par point de la mythologie. Mais trop tard. »

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>> Mort de Leonard Nimoy: Mr. Spock, une icône immortelle de la culture geek

Star Trek : Discovery

« Le Star Trek de la génération Game of Thrones ! Auteurs, réalisateurs, acteurs le revendiquent : nous vivons dans un monde où il y a Game of Thrones et The Walking Dead, il faut faire avec. Cela devrait se traduire par un sens du spectacle (on est sur des épisodes à 6-8 millions de dollars, contre trois pour NCIS par exemple), du feuilletonnant et des cliffhangers, des évolutions voire des morts de personnages, et un côté moins sériel, moins sécurisant que les précédentes séries.

Mais thématiquement, l’ADN de Star Trek reste intact : le personnage principal est une femme noire élevée chez les Vulcains, il y a le premier couple gay au sein de l’équipage, et de ce que j’ai vu sur le tournage, la série pourrait faire écho à l’actualité. En effet, les Klingons, les ennemis historiques de la Fédération, y jouent un rôle très important, mais ne sont pas présentés comme un seul même bloc. Discovery s’intéressa par exemple à une frange intégriste, qui vit comme les Klingons d’il y a 300 ans. Impossible de ne pas penser à Daech, et impossible de ne pas se demander ce que Star Trek peut faire d’un tel sujet. »

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Star Trek: Discovery» sur Netflix: A chaque génération, sa série «Star Trek»?

20170925 – Sénatoriales: la droite renforcée, REM loin de ses objectifs

La majorité de droite au Sénat est sortie renforcée dimanche des sénatoriales, marquées par un très fort renouvellement des élus et un premier revers pour La République en marche d’Emmanuel Macron, très loin de ses objectifs initiaux.

Le Parti socialiste a plutôt bien résisté après ses cuisantes défaites à la présidentielle et aux législatives de juin et le PCF, qui semblait menacé, est en mesure de conserver son groupe à la Haute assemblée.

A l’issue de ce scrutin, 102 nouveaux élus sur les 171 renouvelables devraient faire leur entrée début octobre au Palais du Luxembourg.

« Les grands électeurs ont conforté la majorité sénatoriale », a salué le président du Sénat Gérard Larcher (LR), promettant « une majorité exigeante et positive ».

Principaux bénéficiaires du scrutin, Les Républicains comptent désormais 159 sénateurs, soit 17 de plus que dans le Sénat sortant, selon des sources concordantes. L’UDI en compte 50 (+8) et quatre non inscrits portent la majorité sénatoriale à 213 élus de la droite et du centre.

Candidat à la présidence du parti LR, Laurent Wauquiez s’est félicité de ce « premier avertissement pour un président coupé de nos territoires ».

LREM perd un siège avec 28 élus. Les socialistes limitent les dégâts et reviendront à 81 au Sénat (-5), avec un groupe plus de deux fois plus large que celui de leurs collègues députés. Avec 12 élus, les communistes perdent 6 sièges et les radicaux du RDSE en perdent 4 avec 12 élus également. Les écologistes n’ont plus que 4 élus.

Forte déception en revanche du côté de La République en marche, qui n’a pas réussi à s’imposer au Sénat. « Nous allons travailler à construire des majorités d’idées en rassemblant le plus possible de sénateurs autour des réformes que nous portons pour transformer notre pays », a réagi le parti du président.

Si Emmanuel Macron s’est gardé de commenter les résultats, son entourage a jugé auprès de l’AFP que le résultat était « sans surprise » et « la conséquence arithmétique des élections de 2014 et 2015 ».

« Peut-être que la barre avait été fixée trop haut », a déploré un macroniste dans une critique voilée du président du groupe LREM au Sénat, François Patriat. « Nous aurons aimé faire mieux », a concédé ce dernier en assurant que son groupe allait discuter « avec les centristes, les RDSE, les socialistes et les Républicains ».

Au PS, l’heure est au soulagement. « Ce soir, le PS est au Sénat la première force d’opposition de gauche », s’est félicité le député Luc Carvounas pour qui le scrutin marque aussi « le retour du clivage gauche-droite ».

« Face à , nous continuerons d’être la voix du peuple au « , ont tweeté les élus communistes.

Le FN ne remporte aucun nouveau siège mais enregistre une « vraie augmentation en voix », a analysé sa présidente Marine Le Pen.

La suite de l’article sur le lien ci dessous :

Source : www.ladepeche.fr/article/2017/09/24/2651710-senatoriales-scrutin-difficile-republique-marche-macron-droite-favorite.html

20170925 – France/Monde | « Légitime défense » : elle avait tué le chien qui attaquait son chat

Une Héraultaise, poursuivie pour avoir tué le chien qui attaquait son chat, a été relaxée ce vendredi.

La scène a lieu au lendemain de Noël l’année dernière. Une Héraultaise de 33 ans, assise sur son canapé avec ses deux enfants, entend un gros « boum » sur la baie vitrée. Tous aperçoivent alors un chien tenant dans sa gueule leur chat, Oz.

La femme prend alors tout ce qui lui tombe sous la main pour éviter le pire : basket, manche à balai. Elle frappe, rien n’y fait. Elle s’empare ensuite d’un couteau et porte un coup au jagdterrier qui ne lâche pas prise. Peine perdue : aucun des deux animaux de compagnie n’ont survécu à cette scène de violence.

Ce vendredi, le tribunal de police de Montpellier a estimé que la mère de famille avait agi par nécessité. Le chien s’était introduit chez elle, s’en prenait à son chat et représentait une menace pour ses enfants, elle était donc en état de légitime défense.

Source : France/Monde | « Légitime défense » : elle avait tué le chien qui attaquait son chat – Le Dauphiné Libéré

20170925 – Perpignan: Une maman jugée pour avoir donné une claque à son enfant

 

Une mère de famille âgée de 32 ans a été jugée par le tribunal correctionnel de Perpignan pour avoir donné une claque à son enfant âgé de deux ans et demi. Hospitalisé pour une gastro-entérite, l’enfant refusait d’avaler ses médicaments. La mère a expliqué aux enquêteurs, puis à la barre du tribunal, qu’elle était à bout de nerf après 48 heures quasiment sans dormir à tenter de soigner son enfant.

C’est une infirmière de l’hôpital qui avait aperçu la scène. Elle avait alors prévenu ses collègues, lesquels avaient prévenu à tour de rôle un psychiatre, un médecin légiste puis une assistante sociale. Alertés, les policiers l’avaient placée en garde à vue. Dans sa déposition, l’infirmière avait expliqué avoir été témoin « d’un coup violent ».

Le procureur requiert six mois de prison avec sursis

A la barre, l’avocat de la prévenue a exhibé les nombreux certificats médicaux du médecin généraliste de l’enfant. Aucun d’entre eux ne faisait allusion à des traces de violence. « On ne peut pas assimiler une simple gifle à de la maltraitance, a plaidé l’avocatSinon, il faudrait juger la moitié des parents du département », relate France Bleu Roussillon. Le procureur avait requis six mois de prison avec sursis pour « violences sur mineur ». Les juges ne l’ont pas suivi. La mère de famille a été relaxée.

Source : Perpignan: Une maman jugée pour avoir donné une claque à son enfant