20160321 – News  : Les 10 passages obligés pour les parents d’un nouveau-né | Sabrina Bakir

Me souvenant des premiers mois de mon bébé j’ai sélectionné pour vous les 10 passages obligés pour les parents d’un nouveau-né.

Article de  Pour l’édition française de Huffington Post

Vous venez d’avoir un enfant et vous réalisez que votre vie a changé instantanément dès lors qu’il a pointé sa jolie frimousse vers vous et vers la lumière. A partir de ce moment, vous avez changé, à la fois chamboulé et endossant le poids de la responsabilité d’être devenu le papa ou la maman d’un tout-petit ayant besoin de vous.

Vous avez changé et le regard de votre famille, de vos amis, de votre entourage a changé car vous êtes un peu fébriles et tâtonnants en endossant ce nouveau rôle de parent, et pour être passée par là je peux vous assurer que vous allez avoir besoin de la bienveillance et de l’absence de jugement de ce même entourage qui ne vous reconnaît plus.

Me souvenant des premiers mois de mon bébé j’ai sélectionné pour vous les 10 passages obligés pour les parents d’un nouveau-né, comme:

1. Galérer avec la poussette dans les escaliers, l’ascenseur, en essayant de la démonter pour la faire rentrer dans le coffre de la voiture, en tentant de se frayer un chemin avec sur les trottoirs, dans le métro et tous types de lieux publics ayant été conçus il y a plus de cinquante ans.

2. Essayer de faire un resto, de prendre l’avion ou le TGV comme si de rien n’était, malgré les gazouillis, le babillage, les petits cris incessants de bébé et les regards réprobateurs de ses voisins.

3. Devoir canaliser l’euphorie de sa famille et de sa belle-famille, toujours prêtes à débarquer pour venir voir le bébé, car si vous êtes épuisés, elles pètent la forme.

4. Changer les couches de bébé dans toute sorte de lieux insolites et inexplorés, chez des amis, sur l’autoroute, au musée… comme si vous aviez fait ça toute votre vie.

5. Essayer d’avoir, malgré tout, une libido, disons… correcte.

6. Devoir aller au boulot et essayer de se concentrer et d’avoir la tête à ce que l’on fait après avoir passé une nuit blanche.

7. S’astreindre chaque jour à la balade au parc histoire de faire prendre l’air à son bébé en fin de journée et regarder des bambins jouer dans le sable au lieu de boire un verre en terrasse

8. Ne plus avoir un moment à soi et mettre de côté ses loisirs, ses sorties entre amis et ses petits plaisirs pour se consacrer exclusivement à sa vie de famille.

9.Tomber de fatigue et s’endormir à 21 heures un vendredi soir en oubliant son ancienne vie de fêtard.

10. S’émerveiller de chaque regard, chaque geste, chaque mimique de son bébé quotidiennement et inlassablement.

Car vous l’aurez compris la naissance d’un nouveau-né est une vraie révolution pour chaque couple et chaque parent. Rassurez-vous ces débuts parfois éprouvants ne durent qu’un temps, c’est pourquoi c’est avec toute ma solidarité que je n’ai qu’un seul conseil à vous donner: ayez confiance en vous, même si vous hésitez, si vous doutez, si vous avez peur de mal faire, car le premier être qui croit en vous et qui vous a choisi pour parents est votre enfant, et dites-vous que vous êtes des parents merveilleux qui tentent de faire de leur mieux.

 

Source : Les 10 passages obligés pour les parents d’un nouveau-né | Sabrina Bakir

20160229 – Social / Famille :Accros aux doudous : comment les parents doivent-ils gérer la dépendance d’un enfant à son objet fétiche ? | Atlantico.fr

Perte de doudou et éloignement sont des facteurs de stress importants pour un bébé ou un jeune enfant. C’est le problème qu’a décidé de résoudre « Smarty Crew », société qui fabrique l’objet connecté Oliba, à accrocher à l’objet fétiche pour le retrouver plus rapidement. Les parents ne doivent pour autant pas céder à la facilité et fermer les yeux sur les crises générées par la perte d’un doudou, car elles peuvent traduire un mal-être de l’enfant.

Atlantico : Un doudou peut-il avoir des effets néfastes sur un enfant, comme par exemple une trop grande dépendance à l’objet ?

Laurence Nugues : Si les réactions de l’enfant face à la perte d’un doudou sont excessives, il faut effectivement s’en préoccuper en analysant sa vie en général, comme son âge, ses habitudes, le contexte familial etc.

Ces comportements peuvent par exemple être générés par des facteurs de stress, comme une séparation des parents ou un déménagement.

Ces crises autour du doudou peuvent aussi être provoquées par une carence affective de la part des parents, qui, souvent pressés le matin notamment, ne prennent pas le temps de partager un moment d’amour avec leur enfant.

Or les enfants ont besoin soit d’un temps de jeu, d’un petit déjeuner commun ou d’un câlin intense avec leur référent affectif le matin, ce qui va les rassurer, remplir leur « réservoir affectif » et leur permettre de partir pour leur journée. Si un doudou rassure l’enfant, il ne remplacera jamais un parent.

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Source : Accros aux doudous : comment les parents doivent-ils gérer la dépendance d’un enfant à son objet fétiche ? | Atlantico.fr

20160229 – Etre un bon parent, c’est dangereux ?

Selon des chercheurs américains, les parents empathiques montrent plus de stabilité psychologue et physique.

Les enfants qui ont des parents empathiques bénéficient de nombreux avantages: ils souffrent plus rarement de dépression, sont moins victimes d’agression et ils sont plus empathiques eux-mêmes. Leurs parents, quant à eux, ont une plus haute estime de soi lorsqu’ils sont plus à l’écoute de leurs enfants et font des efforts pour les comprendre. Mais les parents ne se rendent pas compte que cela les ronge de l’intérieur.

Un groupe de chercheurs de l’Université de Northwestern (Illinois) a étudié le phénomène de l’empathie parentale et livre des conclusions plutôt étonnantes. Selon les chercheurs, alors que les enfants des parents empathiques sont plus résistants au niveau physique et émotif, la santé de leurs parents en est affectée. Quand leurs enfants souffrent psychologiquement, le système immunitaire des parents empathiques est impacté.

Les chercheurs ont étudié 247 couples de parents qui ont des enfants adolescents afin de définir leur fréquence et leur degré de compréhension ainsi que leur capacité de réaction. Dans le même temps, les scientifiques ont effectué des analyses de sang. Elles ont montré que les parents empathiques ainsi que leurs enfants étaient plus forts sur le plan psychologique. Les analyses de sang des enfants dont les parents font preuve d’empathie ont présenté un faible taux d’inflammations. Mais les analyses de leurs parents ont donné un résultat opposé: les marqueurs de l’inflammation sont bien plus élevés.

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Source : Etre un bon parent, c’est dangereux ?

20160120 – News : Un papa n’est ni un baby-sitter ni un assistant, c’est un parent | Rachel Toalson

VIE DE FAMILLE – Bon, il faut que crache le morceau… et c’est plutôt un gros morceau. Désolée d’avance pour le coup de gueule. Vous savez ce qui serait bien? Vivre dans un monde où les hommes s’occuperaient de leurs enfants sans que l’on trouve ça extraordinairement exceptionnel.

Source : Un papa n’est ni un baby-sitter ni un assistant, c’est un parent | Rachel Toalson

 

Avis Pimpf : Superbe article qu’avait posté Puce , mon épouse sur son mur FB et je dis super article , je vais vous dire rapidement pourquoi ,  dès la naissance de notre enfant, il a maintenant plus de 4 ans on a pris un abonnement aux magazine Parents, on a acheté le magazine enfants, Famili , etc… et aussi pris des bouquins car malgré tout  savoir comment agir avec son premier enfant, ce n’est pas inné  en nous et on n’a pas réponse à tout, MAIS… car oui il y a un grand mais,  dans cette belle époque où on nous targue de sexisme , de stéréotype etc… quelle n’est pas ma surprise quand je lis en tant que père ces magazines ou article ou la place du Père  dans l’éducation et la présence des enfants est si peu présente… !! alors vous allez me dire oui mais dans tel livre spécifique  on en parle etc… je suis d’accord avec vous mais dans le grand public c’est encore la maman qui fait tout , le père ne participe pas ni à changer les couches ni à les border le soir avant de les coucher, ni à  les consoler quand ils sont tristes, ni à leur préparer à manger , ni à jouer avec eux, leur apprendre à ranger, s’habiller , on ne participe pas aux réunions parents / professeur on ne l’amène pas au médecin et on ne reste pas à la maison quand ils sont malades etc… ??? on en est encore au grand schéma c’est le papa qui amène les sous et qui va gronder , le reste du temps on ne te demande pas ton avis… ça m’énerve !! car on est au 21ème siècle et je ne pense pas être le seul papa à m’impliquer avec ses enfants alors je dis bravo à cet article et les mentalités doivent aussi évoluer dans ce sens !