20160215 – News :Le Conseil de Paris vote le projet de regroupement de 4 arrondissements

Le projet de regroupement des mairies des quatre premiers arrondissements de la capitale a été voté ce lundi par le Conseil de Paris. Ce projet de mairie unique s’inscrit dans le cadre d’une réforme plus large du statut de la capitale.

L’opposition de droite (les Républicains et UDI-Modem) a voté contre.

Elle dénonce une «réforme précipitée et politique». Pour entrer en vigueur, le projet doit faire l’objet d’une modification législative au Parlement. «Cette réforme vise à rétablir une égalité dans le rapport démocratique entre les habitants des petits et des grands arrondissements», a expliqué dans notre journal la maire Anne Hidalgo.

Le projet, qui doit être mis en application à la prochaine mandature en 2020 prévoit le regroupement des mairies des 1er, 2e, 3e et 4e arrondissements parisiens, avec un seul maire à la tête. Il n’y aura donc plus que 17 maires dans la capitale, mais les habitants des 4 premiers arrondissements conserveront leurs mairies pour leurs démarches administratives et les codes postaux des arrondissements resteront inchangés.

Ce projet entre dans le cadre d’un projet de réforme plus large portée depuis l’automne dernier par la maire de Paris, dont plusieurs autres aspects ont également été approuvés lundi en Conseil de Paris.

Les conseillers ont ainsi approuvé le transfert de l’Etat vers la Ville d’un certain nombre de compétences en matière notamment de circulation et de police de proximité. Voté par la majorité de gauche PS, PCF-FG et EELV mais aussi par l’UDI-MoDem, cet éventuel transfert a été salué comme «un tournant historique majeur» pour Paris par Anne Hidalgo.

Les conseillers ont également approuvé la fusion Ville et Département, car Paris est aussi un département, dont la distinction était peu lisible et aggravait les «lourdeurs bureaucratiques», selon sa maire. Là encore, la fusion pourra être entérinée dès la loi votée si le projet de loi est approuvé par le Parlement.

Source : Le Conseil de Paris vote le projet de regroupement de 4 arrondissements

20160215 – News : Syrie : 19 morts dans des bombardements probablement russes

Les frappes aériennes ont été menées sur des zones tenues par les rebelles dans le nord de la Syrie. L’une d’entre elles a notamment visé un hôpital soutenu par Médecins sans frontières. L’ONG dénonce «une attaque délibérée contre une structure de santé».

Source : Syrie : 19 morts dans des bombardements probablement russes

20160215 – News : Saint-Valentin : que font les princesses Disney ? | Stylight

Saint-Valentin : que font les princesses Disney ? | Stylight

 

Ah, l’amour ! Lorsqu’on pense à l’amour éternel, la première chose qui nous vient à l’esprit sont les princesses imaginées par l’univers Disney. Dans une grande partie des films Disney, un prince charmant vient sur son cheval blanc pour sauver une pauvre (ou pire, inconsciente) jeune fille de son célibat. Alors, on se demande ce que feraient les princesses Disney le jour qui célèbre l’amour ? Au moment où une étude récente démontre que les personnages féminins n’ont pas les même temps de parole que leur équivalent masculin dans les films Disney, Stylight a réimaginé les princesses Disney à travers 8 situations. L’amour a-t-il duré pour toutes ? Alors que certaines princesses (et une méchante) se montrent sous un jour sexy, d’autres se tournent vers la technologie moderne pour trouver l’amour.

 

la suite de l’article et des images sur le lien du site Stylight ci dessous :

Source : Saint-Valentin : que font les princesses Disney ? | Stylight

20160215 – News :  Surpoids, style vestimentaire. Ces facteurs de discrimination à l’embauche « Article « Normandie-actu

Si l’âge, le sexe, la couleur de peau sont des facteurs de discrimination à l’embauche, un rapport indique que l’apparence physique fait aussi partie des facteurs handicapants.

Une étude publiée lundi 15 février 2016 par le Défenseur des droits et l’Organisation internationale du travail (OIT) indique que l’apparence physique (surpoids, style vestimentaire) est un facteur majeur de discrimination à l’embauche et donc un frein pour le retour à l’emploi. Poids et look seraient des éléments auxquels les recruteurs seraient attentifs, rejetant ainsi une partie des candidats sur leur simple apparence. Autrement dit, dans la France de 2016, pour décrocher un boulot, il faut avoir « le physique de l’emploi ».

10% des femmes et 6% des hommes disaient avoir été discriminés à l’embauche pour leur apparence physique. Sont particulièrement en cause le poids ainsi que les looks « atypiques »(tatouages, piercings, coiffure…).

Après l’âge, look et surpoids, facteurs majeurs de discrimination

L’objectif de ce rapport de l’OIT sur la « perception des discriminations dans l’emploi » est de mieux connaître ce que recouvre la notion d’apparence physique telle que perçue par les chômeurs, tant dans leurs représentations que dans les expériences de discriminations à l’embauche dont ils font état.

Les résultats mettent en évidence la place importante qu’occupe dans les recrutements la conformité des candidats aux normes socialement admises, tant pour les codes vestimentaires, plus facilement modifiables, que pour les caractéristiques physiques, pourtant inaltérables. Avoir un style ou une corpulence « hors normes » constitue ainsi un inconvénient majeur pour être embauché et peut inciter les employeurs à questionner les candidats sur ces attributs lors des entretiens d’embauche, indique le rapport.

Pour 33% de chômeurs (36% des femmes et 31% des hommes) qui déclarent avoir été discriminés à l’embauche, l’apparence physique est le deuxième critère cité (29% par les femmes et 20% par les hommes). 79% des répondants (83% des femmes et 76% hommes) pensent que leur apparence physique a une influence sur le recruteur. Les discriminations à l’embauche liées à l’apparence physique sont rapportées presque 2 fois plus (1,7) par les femmes que les hommes : les femmes obèses et en surpoids déclarent plus souvent avoir été confrontées à des discriminations liées à l’apparence physique.

Des normes d’attractivité

Avoir un style non conforme aux codes de l’entreprise (cité à 85% par les femmes et 78% par les hommes) et le fait d’être obèse (cité à 79% par les femmes et 73% par les hommes) font partie des situations les plus pénalisantes (au même titre que le fait d’avoir plus de 55 ans, d’être enceinte et d’avoir un handicap visible).
Sans surprise, le rapport rappelle que le fait d’avoir un physique attractif est vu comme un avantage par 66% des femmes et 65% des hommes. En France, les normes d’attractivité privilégient la minceur. Le rejet pour des raisons de corpulence choque davantage les personnes interrogées que la discrimination au look, l’apparence pouvant être modifiée (coiffure, maquillage etc.) La sanction sociale de l’apparence vestimentaire pèse plus fortement sur les femmes que sur les hommes, tout comme le diktat du poids.

Une discrimination vécue pendant les entretiens d’embauche

Les questions posées ou les remarques faites aux candidats lors d’un entretien d’embauche ou d’une épreuve de concours administratif ont souvent un lien avec des caractéristiques personnelles, précise le rapport. Les situations où l’apparence est questionnée sont plus fréquemment en lien avec l’apparence vestimentaire et sont rapportées par 20% des chômeurs (17% des femmes et 23% des hommes). Parallèlement, 11% d’entre eux disent avoir déjà été confrontés à des questionnements en lien avec leur corpulence (9% de femmes et 13% d’hommes). Ce taux est de 33% chez les chômeurs obèses (26% des femmes obèses et 38% des hommes obèses). Autant d’éléments et de témoignages qui laissent penser que l’apparence, le paraître et l’enveloppe corporelle constituent des atouts pour un demandeur d’emploi, lorsqu’il est conforme aux canons de beauté, voire supérieurs à la moyenne.

Renforcer le « testing »

Les ministres de l’Économie, Emmanuel Macron, et du Travail, Myriam El Khomri, ont annoncé le lancement d’une opération visant à renforcer le « testing » des entreprises, afin de lutter contre la discriminations à l’embauche.

Il s’agit de « renforcer les pratiques » en matière de « testing », une technique visant à simuler des situations réelles pour identifier de possibles pratiques discriminatoires, a précisé le ministre, qui souhaite également pénaliser les employeurs pris en faute, rapporte Le Parisien.

Cette opération sera lancée début mars. Pour rappel, le critère de l’apparence physique fait partie des motifs de discrimination introduits par la loi n°2001-1066 du 16 novembre 2001 en même temps que d’autres tels que l’âge, le patronyme ou l’orientation sexuelle. Ce motif, qui n’apparaît ni dans la législation européenne, ni dans celle d’autres États de l’UE (sauf en Belgique), figure aujourd’hui parmi les 20 critères en vertu desquels une différence de traitement, notamment dans l’emploi, est interdite en France.

Article de Solène Bertrand

journaliste à Le Havre InfosTwitter

Source : Surpoids, style vestimentaire. Ces facteurs de discrimination à l’embauche « Article « Normandie-actu

 Avis Pimpf : de nos jours encore le look costume cravate ou tailleur , sourire ultra brite, coiffure impeccable ou bien brushée, le coté balai dans le cul et sourire hypocrite est le look qu’on attend de nous dans le monde du travail…

20160215 – Arts / Modern Princesses – Les versions modernes des Princesses Disney | Ufunk.net

Après les personnages Disney version 2014 et les personnages Disney en étudiants, c’est au tour de l’illustratrice canadienne Anoosha Syed d’imaginer les versions modernes des Princesses Disney

Source : Modern Princesses – Les versions modernes des Princesses Disney | Ufunk.net