20170208 – News : « Je n’aide pas ma femme »: le plaidoyer d’un homme pour le partage des tâches domestiques

« Je n’aide pas ma femme à nettoyer la maison parce que je vis ici aussi. Je n’aide pas ma femme en cuisine parce que moi aussi je mange. » Le plaidoyer d’un père de famille pour le partage des tâches ménagères a rencontré un vif succès sur les réseaux sociaux.

Source : « Je n’aide pas ma femme »: le plaidoyer d’un homme pour le partage des tâches domestiques

20170208 – News : Le «Grand Journal» arrêté avant la fin de la saison ?

La fin semble de plus en plus proche pour « Le Grand Journal ». Selon le site Puremedias, Canal+ « réfléchit très sérieusement » à arrêter « dès le mois de mars ou avril prochain » le programme qui a pourtant fait les grande heures de la chaîne lorsqu’il était présenté par Michel Denisot.

Les relances successives, par Antoine de Caunes, Maïtena Biraben puis, à la rentrée dernière, par Victor Robert, ont toutes été un fiasco. Au lieu de relancer la machine, elles ont fait à chaque fois plonger encore un peu plus les audiences… Et le talk-show quotidien coûte toujours cher à produire. Trop pour un programme qui ne réunit plus que 125 000 téléspectateurs chaque soir ! Depuis la reprise en main de la chaîne par Vincent Bolloré, les fidèles de Canal+ préfèrent zapper entre 19 heures et 21 heures sur TMC (pour « Quotidien »), France 5 (« C à vous »), ou C8 (« Touche pas à mon poste »).

En décembre dernier, la direction de Canal+ avait déjà hésité à arrêter le « Grand Journal ». Mais le programme avait obtenu un sursis. La chaîne dit réfléchir à de nouveaux programmes en clair pour septembre avec d’autres animateurs.

Source : Le «Grand Journal» arrêté avant la fin de la saison ?

20170208 – News : Etats-Unis : les mots de passe des réseaux sociaux bientôt exigés pour un visa

C’est une nouvelle annonce à l’encontre de ressortissants de sept pays à majorité musulmane.

C’est une nouvelle annonce qui pourrait piétiner un peu plus les libertés individuelles aux Etats-Unis. Les ambassades américaines pourraient exiger des demandeurs de visa les mots de passe pour accéder à leurs comptes sur les réseaux sociaux. Et ce afin de procéder à des vérifications plus approfondies a déclaré mardi le secrétaire à la Sécurité intérieure John Kelly.

Cette mesure vise à renforcer les contrôles préalables des visiteurs et à éliminer ceux qui pourraient constituer une menace sécuritaire, ce que Donald Trump avait qualifié de “vérification extrême”. Une mesure qui visent plus spécifiquement les ressortissants de sept pays à majorité musulmane (Iran, Syrie, Libye, Irak, Somalie, Soudan et Yémen), dont les procédures de contrôle sont très faibles, selon l’administration américaine.

“S’ils veulent vraiment venir en Amérique, ils vont coopérer. Sinon, au suivant”

“Nous voulons avoir la possibilité de consulter leurs réseaux sociaux, avec les mots de passe”, a déclaré John Kelly, lors d’une audition devant la commission sur la Sécurité intérieure de la Chambre des représentants. “Il est très difficile de faire de véritables contrôles dans ces pays, dans les sept pays… Mais s’ils viennent (chez nous), nous voulons pouvoir dire quels sites ils consultent sur internet et qu’ils nous donnent leurs mots de passe pour que nous sachions ce qu’ils font sur internet”.

John Kelly a toutefois précisé qu’aucune décision n’avait encore été prise à ce sujet, mais que ces contrôles renforcés seraient certainement appliqués à l’avenir, même si cela signifie des délais plus longs pour l’attribution de visas. “S’ils veulent vraiment venir en Amérique, ils vont coopérer. Sinon, au suivant”, a-t-il conclu.

Source : Etats-Unis : les mots de passe des réseaux sociaux bientôt exigés pour un visa

 

Avis Pimpf : Je vais m’abstenir d’aller aux USA les 4 prochaines années…

20170208 – News : Un Français sur dix a un parent immigré, Société

La France compte 7,3 millions de personnes nées dans le pays mais ayant un père ou une mère étranger, selon l’Insee. Plus jeunes dans leur ensemble que les autres, les descendants d’immigrés quittent aussi plus tard le cocon familial.

Né en France, de mère ou/et de père étranger. Cette « fiche signalétique » est aujourd’hui celle de 7,3 millions de personnes, soit 11 % de la population, signale l’Insee dans une étude sur les Français descendants d’immigrés, publiée ce mercredi. Des gens dont ils s’avère qu’ils sont plus jeunes que la population prise dans son ensemble, mais aussi attachés plus longtemps au noyau familial d’origine, sans que ce soit l’expression d’une forme de repli identitaire.

Par origine, les plus nombreux (45 %) sont les enfants d’immigrés venus d’Europe du sud (Italie, Espagne et plus récemment Portugal), arrivés par vagues successives entre les années 1930 et les années 1970. Les vagues suivantes sont venues du Maghreb dont les enfants nés en France représentent un petit tiers (31 %) de cette catégorie de population qui commence à compter. Ceux nés d’au moins un parent arrivé d’Afrique subsaharienne ou d’Asie, qui ont nourri les derniers flux d’immigration et en plus faible intensité, comptent respectivement pour 11 et 9 %.

Couples mixtes

A l’évidence, ces mouvements de population apportent du sang neuf à la France. Près de la moitié (47 %) de tous ces enfants d’immigrés n’ont pas 25 ans contre moins d’un tiers (30 %) chez les filles et les fils de parents nés en France. Cette tranche d’âge est majoritaire chez les immigrés africains, Maghreb (42 %) et Afrique subsaharienne (19 %) confondus. A l’inverse, « les plus âgés des descendants d’immigrés ont une origine européenne », indique l’Insee. Ainsi, la moitié des Français ayant un père ou/et une mère espagnole ou italienne ont-ils tous au moins 50 ans. Seuls les descendants d’immigrés portugais, qui sont arrivés plus tard, sont un peu plus jeunes.

Autre constat, la part des enfants dont les deux parents sont des immigrés est un peu plus faible (45 %) que celle d’enfants nés d’un « couple mixte » (50 %), lequel est par ailleurs composé plus souvent d’un père que d’une mère d’origine étrangère. Cette mixité est très majoritairement présente (65 % des cas) chez les immigrés d’origine européenne. « Les hommes immigrés espagnols ou italiens, arrivés en général jeunes et seuls, ont fréquemment fondé une famille avec une Française et ont eu des enfants en France », expliquent les experts de l’Insee.

Les jeunes descendants d’immigrés quittent également le foyer familial plus tard. Un peu plus des trois-quarts (77 %) des 18 – 24 ans vivent encore chez leurs parents contre moins des deux-tiers (62 %) pour les autres. Ce taux monte à 85 % chez ceux dont le père et la mère sont tous deux des immigrés. Faut-il y voir le signe d’un manque d’ouverture à l’autre? Pas vraiment. « Deux tiers (67 %) des descendants d’immigrés de 25 ans ou plus vivant en couple ont un conjoint qui n’est ni immigré ni descendant d’immigré », observe l’étude de l’Insee.

@JolCossardeaux

Source : Un Français sur dix a un parent immigré, Société

Avis Pimpf : je suis surpris j’aurai cru que ce chiffre était plus important,  , peut être qu’en remontant au grands parents , c’est un chiffre qui monte encore plus.

20170208 – News : Mort pour avoir fait pipi au lit: les parents en détention provisoire

Le beau-père et la mère de Yanis, 5 ans, mort dehors dans la nuit de dimanche à lundi à Aire-sur-la-Lys (Pas-de-Calais) lors d’une punition pour avoir …

pour avoir uriné au lit, ont été placés en détention provisoire, a indiqué mercredi le parquet de Boulogne-sur-Mer.

» Lire aussi – Pas-de-Calais : un petit garçon de 5 ans meurt, puni pour avoir fait pipi au lit

Les deux suspects avaient été mis en examen hier soir, le beau-père, Julien M., pour « crime et homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans » et « violences volontaires sur mineur de moins de 15 ans par une personne ayant autorité », la mère, Emilie I., pour « abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit ».

Le premier encourt la réclusion criminelle à perpétuité, la seconde une peine de cinq ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende.

Le décès est intervenu après une « sanction-punition » consistant à faire courir l’enfant dehors, en pleine nuit, parce qu’il avait uriné au lit. Yanis aurait ainsi été contraint de courir sur une distance de « plusieurs kilomètres le long du canal La Lys », où son corps a été découvert, et il avait chuté à plusieurs reprises, avait précisé lundi le parquet de St-Omer, initialement saisi.

La mort de l’enfant serait imputable, comme l’avait révélé une première autopsie pratiquée lundi après-midi, à un traumatisme crânien dû à des violences volontaires.

« Ce décès par traumatisme crânien serait consécutif à plusieurs impacts qui seraient des coups de lampe-torche » infligés par le beau-père. Sous la violence, la lampe-torche se serait cassée, a expliqué hier soir lors d’une conférence de presse le procureur de Boulogne-sur-Mer, désormais en charge de l’enquête, Pascal Marconville.

Le beau-père, décrit « comme un survivaliste (personne croyant en une fin proche de l’Humanité, ndlr) qui rêve de vivre en communauté avec ses quatre chiens », ne « se rend pas forcément compte de la gravité des faits », a-t-il souligné.

Quant à la mère, « elle est dans un autre monde », a-t-il poursuivi, précisant qu’elle avait expliqué lors de son audition que les corrections régulières qu’infligeaient le beau-père à l’enfant étaient « pour son bien et pour lui remettre les idées en place ».

La mère, 23 ans et le beau-père, 30 ans, tous deux sans emploi, étaient en couple depuis août 2015, sans autre enfant. Ils n’étaient pas connu des services sociaux de la ville

Source : Mort pour avoir fait pipi au lit: les parents en détention provisoire

Avis Pimpf  : Cette histoire m’a rendu malade , comment ont ils pu en arriver la avec un enfant de 5 ans, et ce parcequ’il avait fait pipi au lit? c’est quoi ces abrutis ? c’est une manière d’éduquer des enfants? non je ne peux cautionner. Certains ne sont pas faits pour avoir ou éduquer les enfants la preuve, mais il n’y a pas de solution à cela…  Il y a maintenant à la justice d’agir et de faire comprendre à tous que ce genre d’attitude est inadmissible.

20170208 – News : A Vanves, les travaux du skatepark ont démarré – Le Parisien

Les pelleteuses sont arrivées au début de la semaine. Les travaux destinés à rénover le skatepark de la rue Louis-Vicat, à l’entrée de la ville de Vanves, sont lancés. L’équipement public, démonté à la fin de l’année dernière car il ne répondait plus aux normes et représentait un danger pour les amateurs de glisse, se refait donc une beauté complète. « Il sera doté de nouveaux équipements et modules modernes, adaptés et sécurisés » indique le maire (UDI) Bernard Gauducheau.

Dans le détail : 11 modules de béton mêlant rampes droites, incurvées et barres de « slide », mais aussi un sol entièrement refait pour une meilleure glisse et une clôture de 6 m de haut pour que le skatepark puisse être fermé au public pendant la nuit. Coût global : 400 000 € pour ce projet issu d’une fronde des riverains qui craignaient sa disparition pour laisser place à une station de gaz naturel. Projet finalement avorté. Avec le début des travaux, les fans de roller et de skateboard n’ont plus que quelques semaines à patienter : la mairie annonce l’ouverture du skatepark pour le mois d’avril prochain.

  leparisien.fr

Source : A Vanves, les travaux du skatepark ont démarré – Le Parisien

20170208 – News : Dave Gahan : « Spirit », le nouvel album de Depeche Mode – Exclu – Rolling Stone

Dave Gahan, le lead singer de Depeche Mode, revient en exclusivité pour Rolling Stone, sur la création de «Spirit», leur nouvel album, à paraître le 17 Mars

 Nous sommes dans une période de grands changements. Plus je vieillis, plus je suis touché par ce qu’il se passe dans le monde. Je pense à mes enfants et au monde dans lequel ils vont grandir. Ma fille, Rosie, a été très affectée par la présidentielle américaine de l’an dernier… Elle en a pleuré et moi, je me suis dis « Waouh »…«

Même s’il partage avec nous ses craintes sur l’état du monde, il est de bonne humeur et porte un regard objectif sur lui-même. «Martin [Gore] et moi vivons aux Etats-Unis alors nous sommes tous deux très affectés par ce qu’il se passe ici. Martin m’a dit «Je sais que pour certaines personnes, cela peut ressembler à des propos de rockstars nanties qui vivent dans leurs grandes villas de Santa Barbara sans se soucier du reste de la planète, et c’est vrai que nous avons de la chance. Mais cela ne veut pas dire qu’on se fiche de ce qu’il se passe dans le monde. Cela me touche vraiment ». Et je lui ai répondu : ‘Je comprends. Je ressens la même chose.»

et le reste du groupe pendant l’écriture de Spirit, leur prochain album à paraître le 17 mars prochain. La majorité des 12 chansons de ce nouvel LP traitent directement du malaise général et de la souffrance actuelle.

 «Je ne dirais pas que c’est un album politique, dit Gahan, parce que je n’écoute pas de la musique de façon partisane. Mais c’est clairement un album sur l’humanité et notre place sur Terre».

Il dénonce dans Spirit les fanatiques qui «nous font revenir des siècles en arrière», en appelle au changement dans «Where’s the Revolution ?» (« Qui prend vos décisions, chante t-il, vous ou votre religion ? » et se lance dans une introspection dans « Poison Heart ». Musicalement, ces chansons ont une teinte sombre et des textures complexes, des sonorités à la fois glaciales et chaudes, rappelant la période de l’album Violator, tout en restant dans la continuité de leur dernier opus sorti en 2013, Delta Machine.

Gahan et Gore se sont rendus compte très tôt qu’ils avaient le même regard sur les événements internationaux, alors qu’ils entamaient les premières séances de le nouvel album l’an dernier avec leur acolyte Andy Fletcher. Cette vision partagée leur a permis de dégager une ligne directrice. « Nous avons choisis le titre Spirit parce qu’on s’est demandé : « Où est passé notre esprit, notre énergie ? Où est passé notre sentiment d’humanité ? dit Gahan. Nous avions envisagé de prendre le titre Maelstrom mais ça sonnait trop heavy métal. ».

« On s’est vraiment engueulés, dit Gahan en riant, c’était très chargé en émotions »

Ils ont fait appel au producteur James Ford, qui les avaient impressionnés par son travail pour Florence and the Machine, Artic Monkeys et Simian Mobile Disco. Ford a aidé les musiciens rester sur la même longueur d’onde. A part quelques petits désaccords entre Gahan et Gore, réglés par Ford (« On s’est vraiment engueulés, dit Gahan en riant, c’était très chargé en émotions »), l’enregistrement de l’album a été plutôt facile et rapide, avec des séances réalisées au studio de Gore à Santa Barbara et d’autres à New York.

Le groupe sort son premier single, signé par Gore, « Where’s the Revolution ». Ce lent crescendo, porté par des vagues de synthés, agit comme un appel aux armes (renforcé par la question posée par le titre) sur lequel Gahan chante « The train is coming/Get on board » (le train arrive, montez à bord). « Martin l’a écrit dans un esprit très sarcastique, très British », dit Gahan.

Si nous voulons que les choses changent, qu’il y ait une révolution, nous devons en parler et partager nos préoccupations

Cet état d’esprit se retrouve dans un autre titre de Spirit, « BackWards ». Au début, Gahan chante «We are the bigots/we have not allowed/We have no respect. We have lost control – Nous sommes des fanatiques/ Nous n’avons pas autorisé cela/ Nous n’avons aucun respect/Nous avons perdu le contrôle). Et, il enchaîne sur une critique de ceux «qui ont une mentalité d’hommes des cavernes » et de ceux qui ne « ressentent plus rien à l’intérieur», au milieu de vagues jaillissantes de claviers et d’une rythmique percussive accompagnée par les chœurs de Gore. «Si nous voulons que les choses changent, qu’il y ait une révolution, nous devons en parler et partager nos préoccupations, estime Gahan. Cela ne semble pas être le cas à Londres. On a l’impression de partir totalement dans une autre direction et je pense que Martin ressentait le besoin d’exprimer cela».

Ce thème se retrouve également dans une autre chanson composée par Gore, «So Much Love», un titre plus enjoué, porté par des sons électros, qui parle de la révélation de l’amour que nous portons tous en nous-mêmes. «Nous avons tous tellement d’amour en nous, nous en avons réellement mais nous avons peur de nous en servir», dit Gahan. «C’est le vieux de truc de John Lennon, Love & peace, mec».

C’est l’exact opposé de la ballade « Poison Heart », un titre particulièrement accrocheur et euphonique, concocté avec le batteur du groupe, Christian Eigner et leur claviériste, Peter Gordeno. «Ils m’ont envoyé la ligne de guitare et elle avait un peu le style soul des Muscle Shoals Studios, dit Gahan, c’était très différent et la mélodie me trottait dans la tête ». La chanson débute par une lente marche funèbre, dans la lignée de « I Put a Spell on You »  de Screanmin’Jay Hawkins et se construit ensuite sur un pont Beatlesien avec seulement un zeste de guitare saturée. Gahan, qui parle de Gore comme «n‘étant pas très causant quand il s’agit de parler des chansons des autres», affirme que Gore a dit que «Poison Heart» était la meilleure chanson que Gahan ait jamais composée. «You have poison in your heart/Tu as du poison dans ton cœur» fredonne-t-il au tout début de la chanson. Et un peu après, il chante «You know it’s time to break up/You’ll always be alone/ Tu sais qu’il est temps de se séparer/Tu resteras toujours seul» mais Gahan assure que ce n’est pas une chanson de rupture.

La chanson ‘Cover me’ exprime également, mais d’une autre façon, cette thématique. Gahan l’a décrite comme étant une chanson à histoire. «Cela parle d’une personne qui voyage sur une autre planète et qui se rend compte que, malheureusement, tout se passe exactement comme sur la terre. Il ne peut pas échapper à lui-même. S’il veut que les choses changent, c’est à lui de réaliser des changements».

« Nos fans et les gens comme nous forment un clan qui, peut être, ne se sentent pas à l’aise en société. On est un peu maladroits, ringards, un peu différents. On s’est tous retrouvés et on a formé une bande.»

Gahan s’enthousiasme le plus sur la tournée européenne car la plupart des concerts sont presque complets avant même que le nouveau single n’ait été dévoilé. «On a passé tellement d’années à nous battre pour se faire écouter et respecter, avance-t-il. Quelques critiques de nos albums passés ont été très sévères. Et tu te dis, au finalOh, ces gens ne nous comprennent pas. Ils n’y comprennent rien.”» Mais au fil des 40 dernières années, Depeche Mode a réussit à fidéliser une importante base de fans. « Nos fans et les gens comme nous forment un clan qui, peut être, ne se sentent pas à l’aise en société. On est un peu maladroits, ringards, un peu différents. On s’est tous retrouvés et on a formé une bande.» Il rit, l’air fier. «C’est plutôt une grande bande maintenant».

Traduit et adapté par Alma ROTA

Source : Dave Gahan : « Spirit », le nouvel album de Depeche Mode – Exclu – Rolling Stone

20170208 – News : Un malware presque invisible cible des banques du monde entier

Le code malveillant a été utilisé, entre autres, pour pirater les distributeurs de billets. Créé avec des outils de piratage standard, il est difficile de l’attribuer à un groupe criminel particulier.

Source : Un malware presque invisible cible des banques du monde entier