20160523 – News : Pourquoi les vacances en famille sont-elles toujours compliquées ? – metronews

PSYCHO – Metronews fait le tour de tous ces comportements qui vous tapent sur le système chez les autres… mais aussi chez vous. Appelés à la rescousse, des experts vous expliquent le comment du pourquoi. Enfants, vie quotidienne ou en voiture, tout y passe.

Quand Belle-Maman nous a proposé l’an dernier de partir en vacances avec eux en Bretagne pour rejoindre belles-sœurs et beaux-frères, je n’ai vu que l’occasion de passer une bonne semaine, en famille et au grand air. C’était sans compter les repas à heure fixe, la visite de tous les musées du coin et sept enfants pas vraiment compatibles. On ne m’y reprendra plus.

Juliette Allais, psychanalyste transgénérationnelle, présidente du CERFAT et auteure de  Guérir de sa famille –  Se libérer des souffrances du passé,(Eyrolles) décrypte en trois points ces pénibles moments de solitude.

► Ce qui se passe
« Partir, c’est perdre ses repères. Ceux qui, habituellement, nous sécurisent. Cette insécurité peut créer de la tension. Car, une fois arrivé à destination, il faut retrouver son nid ou le refaire. Cela demande une bonne dose d’énergie parce que chacun va être sollicité et devra s’adapter au nouvel environnement pour quelques jours ou semaines. Là, dans ce nouveau cadre, et tous ensemble transvasés, les échappatoires ne sont plus les mêmes. Ainsi, s’isoler n’est pas toujours possible. On ne peut pas fuir, à l’image d’une cocotte-minute d’où la pression ne pourrait pas s’échapper. La pression vient du fait qu’il faut réussir ses vacances en famille, imaginées comme idéales. Au quotidien, nombreuses sont les occasions d’être en conflit, là elles gagnent en visibilité. Dans un environnement plus restreint qu’à l’accoutumée où l’on manque d’espace, ajouté au désœuvrement du déplacement, toutes les occasions de frictions remontent à la surface. D’autant que la famille alimente naturellement ces tensions-là. Bien qu’elle soit aussi le dernier bastion où l’on peut se réfugier, il n’est pas rare de s’y sentir coincés par les conflits larvés, les non-dits et tous ces ressentiments que l’on emmène aussi en vacances », explique Juliette Allais.

Concrètement, les vacances en famille permettent, parfois dans la douleur, de faire la différence entre rêve et réalité. On adorerait que ça se passe bien, mais dans les faits c’est pugilat party !

► Ce que l’on ressent
« La colère peut se traduire par du ressentiment, de l’agacement ou de l’irritabilité. Mais aussi Par la sensation d’être soumis et impuissant il y a quelque chose d’assez négatif. En colère mais pas suffisamment autonome pour décider de son temps et de son espace, au fil des jours, cela peut s’avérer dévalorisant. Le fait d’agir à contrecœur, conduit à se sentir prisonnier. Quand, à l’inverse, on parvient à conserver un espace pour soi, alors dans ce cas, les vacances peuvent être agréables. En fait, cela dépend du contexte dans lequel on part. Si tout est imposé, du lieu, aux activités aux personnes avec lesquelles on séjournera, alors la situation est d’emblée à risques. Nécessairement, ressentiment et colère, bien que masqués, finissent par remonter à la surface. Au final, on se le fait payer ou on le fait payer aux autres. Il y aura toujours de l’agressivité dans l’air, déclenchée par le mauvais temps, à une activité non choisie ou un restaurant pas si bon. Tout ce qui est frustrant, va servir de déclencher ravivant l’insatisfaction qui, va pouvoir exploser alors qu’on ne s’y attendait pas. Tout à coup, la personne frustrée montre son agressivité masquée pour ce qui semble être un détail pour les autres », poursuit-elle.

Qui n’a jamais assisté à un pétage de câble pour des spaghetti trop cuits ou une brique de lait laissée vide dans le frigo ?

► Comment s’en sortir ?
« L’objectif est de préciser les choses avant le départ. Pouvoir en parler, choisir la destination ensemble comme les activités. Il vaut mieux être acteurs de ses vacances en libérant la parole et en précisant ce qui pourrait inquiéter. Plus la situation est claire en amont, moins stressants seront les jours, une fois sur place. Il faut pouvoir être capable de se dire les choses, de suite sans dramatiser, d’adulte à adulte. On a le droit de dire que l’on ne veut pas faire telle activité. Cette liberté dépend du respect qui circule au sein de la famille. Arrivé à destination, le dialogue doit se poursuivre avec le maximum d’ouverture mais toujours sans jugement. Partir ensemble n’implique pas de tout faire ensemble, des repas aux activités. Déjeuner ailleurs ou en décalé offre une respiration. Un moment à soi. Mais dans les familles, cela ne va pas toujours de soi, car l’ingrédient de la tolérance n’y est pas forcément présent. Dans certaines circonstances, il vaut mieux ne pas partir tant les conflits possibles sont nombreux. La famille est un lieu où l’on doit sortir de la position infantile. Il faut vraiment être adulte pour que ça marche. Et notamment avec ses parents, pour en finir avec la dépendance. Les vacances sont toujours un révélateur du degré de liberté que l’on s’accorde », conclut la psychanalyste.

Pour m’octroyer le degré maximum de liberté, je laisse la famille partir sans moi. Repos garanti.

Source : Pourquoi les vacances en famille sont-elles toujours compliquées ? – metronews

Avis Pimpf : Autant j’adore mes parents , ma famille et belle-famille  , mais il est vrai que parfois imaginer passer de longues vacances en famille est parfois source de stress , car malgré tout quand tu vas ainsi chez les autres tu dois t’adapter aux habitudes et aux us et coutumes des personnes qui t’accueilles ( même tes parents) et la tu t’aperçois vite que tu n’as plus les mêmes habitudes ni le même rythme ( surtout à la limite quand tu as des enfants).

En plus dès que tu cumules plusieurs membres de la famille , frères, sœurs, cousins ,amis de la famille , on cumule un peu des fois des sources de tension. je ne dis pas que c’est à chaque fois et en permanence mais cela peut être source de tension de stress et autres, et quand tu es chez les autres tu n’impostes pas ta loi si ce n’est sur un point sur l’aspect famille, à titre perso  je n’accepte pas trop que mes parents ou beaux parents imposent la loi sur les enfants ( sauf si c’est justifié c’est à dire qu’ils touchent à des objets qu’il ne faut pas ou des comportements inappropriés), même si on est à l’extérieur et que les enfants sont la cela reste aux parents de gérer leurs enfants  mais souvent avec nos propres parents on a l’impression de nouveau d’être rétrogradé au statut d’enfant et la grande autorité parentale fait foi … non non pas à mon sens ( oui je sais on va me répondre  je n’ai qu’à le prendre plus cool mais quand on devient adulte , on a du mal à ce que quelqu’un en plus parmi ses proches remettent en cause son statut de parent et son autorité ceci devant ses enfants…)

20160523 – News : Les pleurs de bébé modifieraient le cerveau des parents

Les bébés pleurent très souvent. C’est un fait et un moyen pour eux d’exprimer leurs besoins et ce qu’ils ressentent. Face à leurs larmes, la très grande majorité des parents ont tendance à accourir pour vérifier si tout va bien et, le cas échéant, les aider. D’ailleurs , la plupart des parents ont du mal à ignorer les pleurs de leurs enfants. Pourquoi ?

C’est la question que se sont posés des chercheurs de l’université de Toronto. Ces derniers ont décidé de travailler sur l’impact que pouvaient avoir les pleurs d’un enfant sur ses parents.
Pour mener à bien leurs recherches, les scientifiques ont réuni un panel de volontaires. Ces derniers se sont prêtés à plusieurs tests dont l’un consistait à identifier des couleurs… après avoir entendu un bébé pleurer ou rire.

Les participants ayant entendu un bébé rire n’ont eu aucune difficulté à compléter le test.
En revanche, ceux ayant eu droit aux pleurs d’un bébé ont rencontré davantage de difficultés, semblaient avoir beaucoup de mal à se concentrer sur l’exercice et souffraient de conflits cognitifs, c’est-à-dire qu’il existait une sorte de contradiction entre leurs idées et ce qu’ils faisaient.
En clair, ils ne parvenaient pas à se concentrer à 100% sur la tâche qui leur avait été confiée.

Les pleurs d’un bébé modifient le fonctionnement du cerveau

Si l’on en croit les résultats obtenus par les chercheurs de l’université de Toronto et publiés dans la revue médicale Public Library of Sciences One, le cerveau des parents aurait été modifié.

Si les pleurs d’un enfant activent des conflits cognitifs dans le cerveau, ils peuvent également apprendre aux parents à concentrer leur attention de façon plus efficiente et plus sélective.
D’un côté, les pleurs de l’enfant déconcentreraient les parents, et ce, même durant les minutes suivant la fin des larmes.
D’un autre côté, ils participeraient à une modification du cerveau de ces derniers, leur permettant ainsi d’être plus flexibles.

D’après les chercheurs, les parents seraient dotés de flexibilité cognitive leur permettant de passer du mode “réponse aux pleurs de mon enfant” au mode “vie quotidienne” de façon rapide.

Cette flexibilité cognitive serait plus présente chez les parents pour la simple et bonne raison que ces derniers sont confrontés quotidiennement à ce type de stimuli, contrairement aux nullipares qui ne s’y frottent que rarement. Néanmoins, selon les chercheurs, tous les êtres humains auraient, en eux, cette capacité cérébrale.
Il suffirait simplement de la travailler pour la “réveiller”.

Ravis des résultats obtenus, les chercheurs de l’université de Toronto pensent avoir trouvé en leur étude, une hypothèse permettant d’expliquer pourquoi un parent ne peut ignorer les pleurs de son bébé. Cette réaction quasi-immédiate serait plus forte qu’eux et serait désormais un réflexe. Les parents agiraient naturellement, sauraient évaluer, simplement en écoutant les pleurs, les besoins de leur enfant, et fonctionneraient en « pilote automatique ».

Qui aurait cru que les pleurs d’un bébé étaient le secret de la polyvalence ?

A lire aussi: Ce pédiatre dévoile une méthode infaillible pour calmer un bébé en quelques secondes

Source : Les pleurs de bébé modifieraient le cerveau des parents

20160523 – News : Difficultés dans le couple Marvel et Netflix : Disney préfère Hulu pour l’avenir – Pop culture – Numerama

Comics In France

Hulu a annoncé le lancement de chaînes en direct avec des partenaires comme Disney, en parallèle de sa plateforme de SVOD. Le propriétaire des franchises Marvel risque de favoriser sa nouvelle plateforme fétiche pour l’avenir… Au détriment de Netflix ?

Avec la confirmation des plans d’Hulu pour le lancement de contenus en direct dès l’année prochaine, afin de rentrer en compétition directe avec les chaînes du câble américain, de nouvelles interrogations apparaissent pour l’avenir de la télé américaine. De nombreux géants de l’industrie du divertissement ont fait savoir leur intérêt pour le nouveau médium de la startup.

Une petite révolution télévisuelle dans laquelle la SVOD rencontre la linéarité et le direct, et qui permettra de fait à Hulu de diffuser du sport, des shows et de l’information en direct à l’instar d’une chaîne classique mais depuis sa plateforme, donc sur le web. Une télévision 2.0 que des partenaires de poids comme…

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20160523 – Comics News : Les super-héros des comics sont le dernier or noir du cinéma – O – L’Obs

Comics In France

Sipder-Man, X-Men, Superman, Batman… Nés dans des illustrés à quatre sous, ces super-héros nourrissent Hollywood ad libitum. Une aubaine pour les négociants experts en vieux comics, dont les cotes explosent.
Texte : Philipp Guedj photographie : Paul & Henriette (pour l’Obs)

Les clients de la boutique JHU Comics, en plein cœur de Manhattan, n’en ont pas cru leurs yeux. Le 4 avril dernier, peu après 14h30, Docteur Strange en personne passe une tête à l’improviste, achète une copie de la BD portant son nom et prend la pose tout sourire avec les managers du magasin. À deux pas de la 32e rue, à la fin du tournage de l’adaptation par Marvel des aventures du maître des forces occultes, l’acteur Benedict Cumberbatch fait son petit effet en costume et l’image fait le tour du web. Symbole d’une love story entre les comics et Hollywood ? Pas vraiment.

Les créateurs…

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20160523 – News / Carburant : premières difficultés à Paris

 

Carburant : premières difficultés à Paris
Plus de 1.200 stations seraient à l’arrêt.@ Mon Essence

L’ESSENTIEL –

Environ 1.500 stations sur les 12.000 à travers la France seraient en pénurie, totale ou partielle, selon Alain Vidalies. Alors que Manuel Valls a promis dimanche l’évacuation de certains dépôts de carburant, bloqués par des opposants à la loi Travail, la pénurie est particulièrement visible dans l’ouest et nord où les automobilistes sont obligés de partir à la chasse aux pompes ouvertes. La situation devient également compliqué en région parisienne.

Légère amélioration attendue lundi. Dimanche, les réapprovisionnements ont été quasiment nuls. Très peu de camions ont roulé et le personnel des stations service n’était pas toujours présent pour réceptionner le carburant, dans les hypermarchés notamment. Lundi, la situation devrait donc s’améliorer avec une reprise partielle des livraisons. Pourtant, le retour à la normale est encore loin et la mobilisation ne faiblit pas. Un nouveau dépôt, celui de Fos-sur-Mer dans les Bouches-du-Rhône, est en effet bloqué depuis lundi matin.

La mobilisation se poursuit à Donges.A la raffinerie de Donges, le mouvement est double. En plus de la grève des salariés, un blocage a été mis en place à l’entrée de la raffinerie. Lundi matin, nombreux étaient les salariés présents pour le maintenir. « C’est symbolique de la détermination des salariés à obtenir le retrait de ce projet de loi Travail qui est absolument inacceptable. C’est un véritable retour au 19ème siècle », explique un salarié des chantiers navals STX présent à Donges. « On avance vers le blocage de l’économie. C’est le seul moyen que nous avons pour faire reculer le gouvernement », poursuit-il.

« C’est la galère ». L’ouest de la France est particulièrement touché. A Nantes, il est désormais impossible de trouver du carburant. A chaque fois, la même affichette indique que les cuves sont vides. « C’est la galère, c’est partout fermé, il n’y a plus rien », déplore Claudine, interrogée par Europe 1. « Si on n’a plus de carburant, on marchera à pieds et puis c’est tout. Je pense qu’il faut peut-être que ce soit tout bloqué pour changer les choses », explique-t-elle. « Si c’est le seul moyen, c’est très bien. C’est de mieux de faire cela que de faire Nuit Debout », avance de son côté Jean-Pierre.

Le nord très touché. Près de Lille, les automobilistes ne cachent pas leur énervement. « J’ai cherché de l’essence partout ce week-end. Je suis allée dans toutes les stations, mais impossible, il y a des pénuries partout. Je dois aller travailler, j’ai 30 kilomètres à faire et je n’ai plus assez d’essence, je vais tomber en panne. C’est vraiment la galère », raconte Julie qui a fait 80 kilomètres et 20 stations sans trouver de carburant.

La région parisienne touchée. Le mouvement commence aussi à atteindre la région parisienne. Lundi matin, il était parfois compliqué de trouver du carburant aux portes de Paris. A Roissy, Orly, Pantin ou encore à Issy-les-Moulineaux, les stations étaient fermées en raison de l’absence de carburant. « Depuis dimanche soir, je cherche du carburant. Là, je suis venu tôt parce qu’ils m’avaient dit qu’ils seraient livrés à 5 heures du matin, mais ce n’est toujours pas le cas. Je suis presque à sec », s’inquiète Medhi qui a déjà écumé huit stations différentes. La situation était légèrement meilleure dans l’est de la capitale et notamment place de la Nation.

« Ras-le-bol ». Les automobilistes sont loin de tous soutenir le mouvement. « Au bout d’un moment, on en a ras-le-bol, vraiment ras-le-bol. Ça handicape tout le monde et ça ne va pas faire avancer les choses », regrette Christelle qui recherche elle aussi du carburant. « S’ils ont des problèmes avec le gouvernement qu’ils s’adressent au gouvernement, qu’ils aillent squatter leurs bureaux, leur travail, je ne sais pas. Nous, il faut qu’on bosse », poursuit-t-elle.

Source : Carburant : premières difficultés à Paris

20160523 – News : Braquage au supermarché à Vanves

Ils ont surgi ce dimanche matin, juste avant l’ouverture de ce supermarché de Vanves : deux braqueurs, cagoulés, casqués et armés, s’en sont pris à l’enseigne Intermarché, au carrefour de l’Insurrection. Il était près de 9 heures, les clients n’étaient pas encore arrivés, seul le personnel était présent pour préparer l’ouverture imminente.

Sous la menace, mais sans violences, les deux malfaiteurs se sont fait remettre le contenu des caisses, avant de s’enfuir. Le butin est encore en cours d’évaluation, mais atteindrait plusieurs milliers d’euros. La police judiciaire des Hauts-de-Seine a été saisie de l’enquête.

Source : Braquage au supermarché à Vanves